Complicités téléphoniques
Datte: 07/04/2021,
Catégories:
ff,
jeunes,
telnet,
amour,
noculotte,
odeurs,
intermast,
Oral
légumes,
fdanus,
jouet,
lettre,
... les marques de mes doigts, ma pauvre chérie ! Quand je descends de la selle, une belle auréole d’humidité marque la place de ma chatte. J’en suis vaguement confuse (est-ce que ça tache ?), mais tu as déposé le même petit souvenir juste devant. Tu me le fais remarquer en riant. Je te confie que la chaise en cuir qui accompagne mes soirées de vague à l’âme porte les mêmes stigmates. Nous poussons la porte en gloussant comme deux gamines. — Chuuut ! Elles vont nous entendre, et adieu la surprise ! Nous montons à pas de loup (non, de louves, de louves lubriques !) les bras chargés de nos emplettes. Pas un bruit à l’étage. Nous déposons nos paquets dans ma chambre avant que je te guide en silence vers celle des filles. Par l’entrebâillement nous les voyons enlacées sur le même lit, les fesses rondes de Babette tournées vers nous, celles plus pointues de Marion se reflétant dans la psyché. Elles dorment tranquillement, juste vêtues d’un tee court. Sophie J’ai levé tous tes scrupules à propos de la selle : — Non, la mouille ne tache pas sur ça. Je passe la paume dessus pour essuyer notre double témoignage de plaisir, et je la porte à mon nez (ah, ces fragrances mêlées ma chérie !) en regrettant le simili cuir : — Ce n’est pas du vrai, hélas, ma selle n’aura jamais la belle patine que j’imagine à ta chaise… Il faudra que tu me la montres ! Je me tais à ton ordre et me coule derrière toi (joli spectacle que tes fesses qui ressortent alternativement devant mon nez en grimpant les ...
... marches…) avec précaution. Ne laissons pas tomber les bombes de chantilly et évitons le moindre bruit, si nous voulons surprendre tes charmantes colocataires. (C’est bien le mot que tu as employé en premier tout à l’heure, hein, coquine ?). Quoi qu’il en soit, j’ai hâte de les voir, et pas seulement, comme je te le chuchote sur la porte de ta chambre. Je réfrène malgré tout mon impatience en te suivant jusqu’à la leur. J’aperçois dans la pénombre les délicieuses formes claires de deux jeunes silhouettes féminines alanguies. Je crois déjà respirer le parfum de leur sommeil. Si je m’écoutais, je t’enlacerais et nous précipiterais sans plus attendre sur elles. Un reste d’éducation me retient à quelques pas de ton dos. Chantal Je te fais signe d’approcher avec moi et chacune d’un côté du lit, nous effleurons doucement les mappemondes offertes. Nous prolongeons cette caresse jusqu’à ce que leurs yeux ensommeillés s’ouvrent, d’abord paresseusement, puis franchement quand elles se réveillent ravies. — Oh, Chantal, tu es revenue ? Elles me sautent au cou, nous nous embrassons tendrement, elles se tournent enfin vers toi : — C’est ton amie Sophie ? Bonsoir, Madame, on peut vous embrasser aussi ? Tu les y autorises, bien sûr, en appuyant longuement tes lèvres sur leur bouche. J’allume l’électricité : — Sophie, je te présente mes deux protégées : Babette, la blondinette, tu vois elle est châtain plus clair que moi, et Marion, la chevelure plus foncée, et quelques taches de rousseur sur les ...