1. L'homme en blanc


    Datte: 07/04/2021, Catégories: fhh, hplusag, couplus, inconnu, vacances, caférestau, Oral pénétratio, fsodo,

    ... Il faut reconnaître qu’il a du talent pour mettre en valeur le corp de ses modèles féminins et masculins. Carole est sous le charme. — Bob, c’est vraiment magnifique. C’est sensuel, sans vulgarité. Superbe. Qu’en penses-tu François ?— Oui, c’est vraiment très beau.— Voulez-vous visiter mon atelier photos ? Sans que j’aie eu le temps de dire ouf, Carole a déjà accepté. Il la précède pour monter un petit escalier en colimaçon qui mène au dernier étage du bâtiment. Sous les toits. Dernier à monter, je ne peux m’empêcher d’admirer les belles jambes bronzées de mon épouse et ses jolies fesses où apparaît à peine un joli string blanc. C’est un grenier aménagé où trônent les appareils du professionnel. Il allume les projecteurs. Carole tourne dans l’atelier, s’assied sur un vieux canapé rouge. Il y a aussi un vieux fauteuil en osier qui fait penser à celui du film « Emmanuelle », et une table de billard. Bob poursuit ses explications sur ces techniques et puis ce que je redoutais arrive. — Est-ce que ça vous dirait de poser ? J’essaie de gagner du temps. — On va y réfléchir. Mais on va rentrer maintenant, n’est-ce pas ma chérie ?— Vous en ferez quoi, des photos ?— On les regardera ensemble. Je vous montrerai comment on peut masquer certains détails, améliorer la lumière, et ensuite, je vous les donnerai. Vous en ferez ce que vous voudrez.— C’est tentant. Vous nous prenez en photo tous les deux ?— Bien sûr, mais séparément d’abord.— D’accord. Et toi, mon chéri ?— Euh, j’avoue que ...
    ... l’idée d’être pris en photo nu…— Allez, on est en vacances.— Mais… maintenant.— Oui allez, on dormira jusqu’à midi demain, c’est tout. Enfin si ça ne vous dérange pas, Bob.— Pas du tout, vous savez nous, les artistes, on vit beaucoup la nuit. Alors qui commence ?— À toi, mon chéri. Difficile de ne pas se dégonfler. Après tout, si ça peut lui faire plaisir et lui montrer que j’ai évolué. Je me déshabille, un peu gêné tout de même. Bob me met à l’aise… si je puis dire. — Ne vous inquiétez pas. Je ne regarde qu’avec l’œil du professionnel.— Je ne suis pas inquiet. C’est juste surprenant.— En vacances, il faut se surprendre. N’est-ce pas… Carole ?— Oui Bob, c’est fait pour ça, les vacances. C’est bien mon chéri, ce que tu fais. Ouf, je suis toujours dans le jeu. Je prends les poses demandées par Bob. Il me montre sur son ordinateur les premiers résultats qui, je dois dire, sont surprenants. Il arrive à mettre en valeur mon corps qui n’a rien d’extraordinaire sans montrer quoi que ce soit de mon intimité. Mis en confiance, on est passé au tutoiement. — Bien François. Est-ce que ça te plaît ?— Je suis surpris. Tu es vraiment doué pour transformer tes modèles. Je ne me savais pas aussi beau.— Mais tu es très beau, mon chéri.— Eh bien, à toi de poser Carole, si tu le désires toujours, bien entendu.— Je n’ai pas changé d’avis, Bob.— Ne te rhabille pas, François. Je veux vous prendre tous les deux, après. Je ne relève pas cette phrase ambiguë. Carole fait glisser sa robe doucement ...
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