1. L'homme en blanc


    Datte: 07/04/2021, Catégories: fhh, hplusag, couplus, inconnu, vacances, caférestau, Oral pénétratio, fsodo,

    ... plaisir. Elle s’offre, totalement impudique. Un orgasme, puis deux. Je ne peux qu’admirer cet homme mûr. Je bande mais je n’ose pas me toucher. Il le remarque. Il me fait signe d’approcher près de la table. Près du visage de ma femme. — Jolie petite Carole, ne laisse pas ton petit mari comme ça. Suce-le. Elle se contorsionne, tourne sa tête et me prend en bouche. Elle aussi vient d’envoyer un signal à Bob. Il sait qu’il a pris l’ascendant sur elle, qu’il va pouvoir sans doute passer du bon temps pendant quelques jours avec cette vacancière. Quant à moi, j’ai à nouveau une boule au ventre. Je sais qu’il va falloir que je me batte si je ne veux pas la voir de nouveau m’échapper. Je reste suffisamment encore excité pour que Carole en termine avec moi. Elle fait ça comme si j’étais un accessoire. Toute au plaisir que lui donne Bob. J’éjacule à nouveau et je débande très vite. C’est le moment que Bob choisit pour la faire changer de position. — Tu dois avoir mal au rein sur cette table à force de te cambrer petite coquine. Viens sur le canapé. On va jouer encore. Tu veux ?— Oui Elle murmure ce « oui ». Se redresse. Au passage devant Bob, il l’attire contre lui et ...
    ... échange avec elle un long baiser. Le sexe de Bob est toujours fièrement dressé. Elle le caresse tout en l’embrassant. Le mien est en berne. Pourtant j’ai presque trente ans de moins… — Je me mets comment sur le canapé ?— Mais comme tout à l’heure avec ton petit mari.— Ohhh.— Oui, tu m’as fait très envie ainsi. À mon tour d’en profiter. Tu veux petite coquine ?— Oui… vilain coquin.— Regarde François. Je vais te montrer comment la faire bien jouir. Il se positionne derrière elle. Elle est cambrée à quatre pattes. Une invitation obscène pour son amant qui ne se prive pas d’entrer en elle violemment. Elle l’accueille dans un cri de plaisir. Assis dans le fauteuil « Emmanuelle », j’assiste, pâle, à la victoire de Bob. Elle jouit encore. Et quand il se présente à sa porte secrète, elle ne refuse pas. Tout juste lui demande-t-elle d’y aller doucement parce qu’il est plus gros. Heureusement, elle ne désigne pas celui qui est plus petit et Bob n’insiste pas pour qu’elle termine sa phrase. Sinon ma défaite aurait été complète. Ils ne s’occupent plus de moi. J’ai froid. Je me rhabille. J’ai envie de partir mais la petite voix me dit :« Non tu restes et tu t’accroches. Allez ! » 
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