La poupée folklorique
Datte: 08/04/2021,
Catégories:
jeunes,
alliance,
nympho,
grosseins,
fépilée,
amour,
Oral
exercice,
fantastiqu,
initiatiq,
extraconj,
... sur ses fesses. Sébastien rangea son sexe trempé dans son caleçon. Elle se tourna vers son beau-frère qui commençait à accuser le poids des regrets. — Merci Sébastien. Ne t’inquiète pas, je ne dirai rien à Marie-Agnès. Caroline ouvrit la porte, s’immobilisa et se tourna vers Sébastien. Elle baissa les yeux et avec ses doigts, elle démêla ses cheveux. — Le jour comme la nuit, tu as mon numéro de portable… Ils se regardèrent gravement et elle prit congé. Sébastien reboutonna son pantalon. Sa respiration s’accéléra, il grimaça, juste avant de s’asseoir sur le sol, le dos contre la porte. Il pinça les lèvres, posa une main sur son front et ferma les yeux. En début de soirée, il était allongé sur le canapé quand il se réveilla. La luminosité du salon avait baissé et il s’assit. Pendant un instant, il savoura le silence. Il referma simplement la bouteille de Martini et se leva en direction d’une fenêtre qui annonçait déjà la fin du week-end. Son regard semblait être attiré par quelque chose, quelqu’un… Sébastien se recoiffa, avant de se diriger dans le hall et sortir… Une femme d’une cinquantaine d’années, lunettes, glissait un prospectus dans sa boîte à lettres. — Catherine !— Sébastien ! Vous allez bien ? Je vous ai déposé un peu de lecture. Catherine La Motte-Pernac habitait un peu plus haut dans le lotissement. — Je vends, alors si cela vous intéresse… ?— Vous nous manquerez, Catherine.— Peut-être nous reverrons-nous. Bonne soirée ! Elle poursuivit sa route et Sébastien rentra ...
... sur un petit pincement au cœur. Quel après-midi ! Vers les 21 heures, Sébastien monta pour se doucher. Dans la foulée, il se glissa dans son grand lit avec sa tablette. Il programma son téléphone pour qu’il sonne à 6 heures. Quelques minutes plus tard, une fatigue bien compréhensible le terrassa. Tard dans la nuit, Sébastien s’éveilla en sursaut. Il tourna la tête vers le radio-réveil : 3 h 33. Seuls les cognements de son cœur dominaient le silence de la chambre. Au rez-de-chaussée, quelque chose se passait… Sébastien éclaira sa lampe de chevet. Il sortit du lit et enfila un jogging, avant de sortir prudemment dans le couloir. Il éclaira les escaliers : — Marie-Agnès, c’est toi ? Sébastien descendit prudemment les marches. Arrivé dans le hall, il vérifia que la porte d’entrée était fermée à clé. Par curiosité, il avança vers le salon et jeta un coup d’œil dans la pièce : personne. Il revint dans l’entrée et son regard fut attiré par la porte de la cave entrouverte. Il jeta un coup d’œil derrière et ne découvrit qu’une coiffe blanche : la poupée folklorique n’était plus là. Sébastien s’interrogea : dans la folie de ce dimanche après-midi, l’avait-il déposée autre part ? L’esprit trop embrumé, Sébastien renonça. Il referma la porte et monta à l’étage pour finir sa nuit. 6 heures : Sébastien se leva l’esprit neuf. Il avait oublié la folle journée de la veille et les souvenirs de cette nuit interrompue. Dans la cuisine, il petit-déjeuna sereinement avant de ranger le salon. Après ...