La poupée folklorique
Datte: 08/04/2021,
Catégories:
jeunes,
alliance,
nympho,
grosseins,
fépilée,
amour,
Oral
exercice,
fantastiqu,
initiatiq,
extraconj,
... cela ! Furieuse, pleine de haine, elle avança et le mit en garde en frappant plusieurs fois son torse. — Je ne suis pas Marie-Agnès !— Tu n’as rien à faire ici, Caroline ! Furieux, il claqua la porte, mais c’est elle qui enchérit : — Depuis quand tu te permets de me tacler ? Sébastien eut un doute et Caroline posa ses doigts crochus dans le polo. — Espèce de salaud, j’adore quand tu me provoques ! Elle se hissa jusqu’à ses lèvres et l’embrassa énergiquement… Sébastien se laissa faire… Il posa ses mains sur elle, mais il n’avait pas la force ou l’envie de la repousser… Caroline reprit son souffle. — La grossièreté, c’est ce qui te manquait ! À son tour, Sébastien brusqua la bouche de sa belle-sœur et il la bouscula pour l’emmener contre le radiateur dans l’entrée. — Caroline, cela fait trop longtemps que tu me cherches ! Il la souleva et la plaqua énergiquement contre la porte, il mit sa main droite sur les fesses rebondies et ses doigts remontèrent sous la robe. — Espèce de salaud ! J’ai toujours eu envie de toi. Qu’est-ce que tu me caches ? Ses doigts fins déboutonnèrent le jean et elle s’accroupit à ses pieds. Elle extirpa l’outil de chair bandé d’une main volontaire et elle glissa l’ogive au fond de sa bouche qui criait famine. La tête aux cheveux cuivrés s’animait férocement sur le membre, les bruits de succion meublèrent le hall, ponctués par les ronronnements de cette furie. Sébastien leva le menton et les yeux vers la centrale d’alarme, il haleta son bien-être dans ...
... cette bouche chaude et sans tabous. — Tu n’es qu’une catin !— Exactement ! Quatre mois de pain sec le poussèrent à la précaution. Il retira son sexe et bouscula les épaules de Caroline. Déséquilibrée, elle posa deux genoux à terre, puis les mains en appui sur le carrelage. Il releva sa robe en jean et baissa juste le shorty. — Défonce ta catin ! Il déplaça ses doigts sur la chatte trempée, rabroua le clitoris qui durcissait sous son index. Il effleura les lèvres charnues, avant de glisser un doigt en éclaireur dans le con à 37, 2°. Sébastien enfonça inhumainement son bélier jusqu’à la garde, avant de se cramponner aux hanches de Caroline et vulgairement, il la baisa à grands coups de reins. La belle sœur perverse braillait, étreinte et poussée qu’elle était par la fougue de Sébastien. Malmenée comme une nympho anorexique, Caroline se protégea la tête en plantant ses ongles dans la porte. — On dirait qu’il n’y a qu’à quatre pattes que tu m’apprécies ! Sébastien grimaça, ses doigts se crispèrent dans les hanches et il ralentit sa chevauchée… Il contrôla son plaisir et s’immobilisa en elle, avant de décharger en hurlant sa tension. Il agrippa les cheveux, les tira et reprit ses coups de reins en grimaçant. À chaque jouissance, il sentait le sexe de Caroline palpiter… Sébastien se retira lentement de la matrice qu’il avait ensemencée. Ils prirent quelques secondes pour retrouver leur souffle, puis ils se relevèrent : distante, Caroline remonta son shorty et baissa le bas de sa robe ...