1. La poupée folklorique


    Datte: 08/04/2021, Catégories: jeunes, alliance, nympho, grosseins, fépilée, amour, Oral exercice, fantastiqu, initiatiq, extraconj,

    ... elle tourna sa tête et ses grands yeux vers lui. Son mètre soixante-dix ne cessait de l’impressionner. — Écoutez : ma femme revient mercredi et si elle vous découvre sur son canapé, je suis mal ! Soudain, la tête de la poupée tourna lentement vers la télévision. — Oui ! Génial ! Jusqu’à présent, je n’avais pas trop les jetons, mais des trucs comme cela, c’est assez flippant ! Humaine, elle semblait moins effrayante. Sébastien put détailler cette étrangère : ses cheveux étaient attachés haut derrière son crâne et sa bouche semblait continuellement attendre un baiser. Son costume était une prison par son épaisseur et son intégralité. Sa main était d’une seule pièce, un moulage aux doigts associés, mais aux ongles peints. Il se dit qu’elle devait faire un 38 et qu’en habit de rechange, la garde-robe de sa femme serait parfaite. — Un jour, peut-être que vous parlerez et que vous pourrez me dire votre prénom ? (Instant de silence) Je suis épuisé : je vais me coucher. Ne veillez pas trop tard ! Sébastien regarda l’écran télévision, avant de lui esquisser un sourire. Il sentit à nouveau cette odeur de moisi et d’humidité mélangée à la poussière. Il monta au premier avec son téléphone. Dans sa chambre, il ferma sa porte à double tour. Sur le lit, nu, il pensa à cette jeune femme en bas. Il caressa son sexe jusqu’à le faire devenir dur. Il réalisa l’insalubrité de son geste et débanda aussitôt. Ce mardi matin, la couette pesait quarante kilos, mais surtout, Sébastien était en retard ...
    ... : 8 h 30 ! Il sauta sur son téléphone avec l’intention de s’excuser, mais quand il pensa à son invitée, il se dit qu’il valait mieux dire qu’il est malade. Sébastien enfila son jogging et un tee-shirt. Il déverrouilla la porte de sa chambre et ouvrit prudemment, comme au temps où Marie-Agnès faisait chambre à part. Il descendit l’escalier et en bas, il se tourna discrètement vers le salon : personne ! Il s’interrogea une demi-seconde, avant de réaliser que le plaid avait été utilisé… Il avança lentement au milieu du salon et se retourna, avant de tressauter. Sa poupée était dans l’entrée et elle le fixa. Ses yeux semblaient sourire, mais pas cette bouche faite pour l’amour. Elle fit un pas très mal assuré en avant, trébucha et il se précipita vers elle : elle eut un réflexe de défense, mais il cueillit son avant-bras et son épaule. — Si vous n’êtes pas sûre de vos pas, mieux vaut rester sur le canapé. Il l’accompagna jusque vers le canapé et tous les deux s’assirent. Elle posa un doigt sur l’un des boutons de la télécommande, mais Sébastien éteignit immédiatement la lucarne. — Il faut que l’on parle, mademoiselle. Elle tourna la tête vers lui avec une aisance presque humaine. Elle noya son regard dans celui de Sébastien et enfin, elle anima sa bouche. — Je m’appelle Lucie. Je suis née en Russie à la fin du XIXe siècle. Ne me faites pas de mal. Sébastien eut un moment d’incompréhension. — Pourquoi vous ferais-je du mal ? Elle tourna les yeux vers la porte d’entrée. — La femme ...
«12...567...11»