L'amant - Histoires de Sexe

L'amant

... délicieuse queue trouve entre mes lèvres tout le réconfort qu’elle attendait. La différence est qu’il me demande de me branler en le suçant, pour ne pas jouir égoïstement. Son sperme termine dans mon ventre sans que j’en perde une infime goutte. Le mien s’écoula d’abord sur mes doigts, avant de s’ajouter au sien dans mon ventre, ce qui l’excite beaucoup. — Tu aimes donc tant le foutre que ça ?— Tu n’as pas idée. J’en rêvais, ado, et quand mon premier mec a déchargé dans ma bouche, ça a été une révélation. T’as jamais goûté ?— Euh… non. Mais j’essaierai peut-être un jour, rien que pour ne pas finir idiot.— Et prendre un mec, ça te dirait ? osai-je, chaud bouillant.— Je ne sais pas. Il faudrait que je sois méchamment en manque !— Il y a deux jours, tu pensais que j’allais te sucer ? Ni que t’allais y revenir ?— Ce n’est pas faux. Tu as de bons arguments, toi.— M’essayer, c’est m’adopter, tu verras, répondis-je en rigolant. Une petite semaine plus tard, bien déterminé à obtenir ses faveurs entre mes fesses, je me suis préparé dans les règles de l’art afin de lui offrir le meilleur de moi-même. Ce soir-là, nous passons une soirée avec quelques amis dans un bar à vins. Vers minuit, nous repartons vers nos voitures garées à quelques rues de là. — Envie de tailler une petite pipe ?— Voiture ou maison ? répondis-je du tac au tac.— Chez toi ou chez moi ?— De préférence chez moi. Ce soir, j’en espère un peu plus, affirmé-je, posant clairement les bases. À peine sommes-nous arrivés à ...

... destination que sa grosse verge retrouve la douce chaleur de ma bouche, ne tardant pas à y jouir violemment. Ses performances et ses dimensions exceptionnelles me grisent. La tenir, la sucer était un privilège, comme posséder quelque chose que les autres n’ont pas. La tenir dans ma main était comme posséder la clef d’une puissante voiture de sport ; la sentir glisser entre mes lèvres, comme être à son volant. Quant à ses impétueuses éjaculations, c’était comme avoir flirté avec la zone rouge du compteur pour remporter la victoire. Le goût de son sperme, l’odeur de la gomme sur l’asphalte. Le temps d’une cigarette, je savoure ma victoire. Je me lève pour mettre de la musique et nous servir un verre. Avant de me rasseoir à ses côtés, je disparais à la salle de bains. Mes vêtements glissent à terre, une noix de vaseline graisse ma porte dérobée. De retour, il est aussi nu que moi. Je bus une gorgée et lui dis que j’en avais très envie. Les mots n’avaient pas de place, il en était conscient. — Viens, on sera mieux dans la chambre, lui intimé-je. Lorsque sa main glissa le long de mon dos pour arriver sur mes fesses, mon ventre se contracte agréablement, impatient de sentir le sexe que j’avais en bouche me pénétrer. Sa queue reprend déjà de la consistance, mais le processus s’accélère quand un doigt timide ose s’insinuer entre mes globes. D’abord un, puis très vite deux doigts pénètrent mon anus. De nouveau bandée, sa queue remplit complètement ma bouche. Il a joui, je compte sur son ...