Deuxième journée
Datte: 09/04/2021,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
amour,
Oral
pénétratio,
init,
... 85 b bien ferme et haut sur la poitrine, les tétons fièrement dressés en disaient long sur son désir. Je les lui malaxai, je léchai ses seins de la base en remontant au téton que je suçai goulûment. Elle aimait ça, ses petits gémissements me le firent savoir. Elle m’agrippait par les cheveux, et pendant que ma bouche se délectait de ses seins, une de mes mains partit en expédition sur ses cuisses. Je remontai sa jupe. Elle écartait pudiquement ses cuisses sans trop en dévoiler à la fois. Délaissant ses seins je vins admirer le bas. Une jolie culotte en dentelle assortie se dévoila à mon regard. Ma main frotta sur sa culotte que je sentais déjà humide. Ma langue lécha le tissu pour faire monter le plaisir, puis je lui ôtai son dernier rempart. Là, surpris, je me rendis compte qu’elle s’était épilée depuis la veille et son sexe m’apparut sous un jour nouveau. Ses lèvres brunes étaient légèrement gonflées. Son clitoris se faisait discret, invisible au premier coup d’œil. J’entrepris de la lécher, elle assise sur le rebord de son bureau. Ma langue faisait de lents va-et-vient le long de sa fente, puis avec mes doigts j’écartais ses grandes lèvres. Alors je pus atteindre son clitoris et le lécher. Elle eut des spasmes de plaisir, ses gémissements devinrent plus accentués. Son bassin ondulait fortement sous l’action de mes coups de langue. Tout en continuant mes jeux de langues je lui rentrai l’index dans le vagin. L’action conjuguée de mon doigt et de ma langue en ...
... elle la firent s’envoler dans les hauteurs du plaisir. Cela continua des minutes entières jusqu’au moment où elle me réclama en elle. Je libérai alors mon sexe gonflé comme jamais, et vins le placer devant sa vulve déjà bien ouverte. Je la lui rentrais bien profondément, en douceur. J’arrivais à tout rentrer, après quoi je commençais un mouvement de va-et-vient qui s’accéléra au fil des minutes. Camille, si discrète en temps normal, hurlait littéralement de plaisir, me demandant de la défoncer. Sa chatte était trempée, mon sexe glissait avec une grande facilité en elle, mes couilles s’écrasaient contre ses fesses. Tout en continuant mon va-et-vient dans son puits d’amour, je malaxais ses seins ; elle, yeux fermés, bouche ouverte, ne cachait pas son plaisir. Je sentais le plaisir monter en moi à chaque coup de rein. Sa vue m’excitait ; elle, allongée sur le bureau, jambes écartées, la jupe remontée à la taille, jouissait sans aucune retenue. Le plaisir devenant trop fort, je jouis en elle de plusieurs jets puissants qui la firent tressaillir. Puis, m’étant retiré, je m’activais de nouveau sur son clitoris avec ma langue pour lui faire atteindre l’orgasme. Ce fut chose faite à peine quelques minutes après, quand sa chatte explosa sur mon visage d’une manière que je n’avais jamais vue auparavant. Elle avait hurlé de plaisir ; ses cuisses étaient maculées du liquide qu’elle venait d’expulser avec une force inouïe. Je me nettoyai, l’embrassai, et rentrai chez moi.