Rêveries particulières (2)
Datte: 09/04/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... plus chaud. Tu me demandes un café et notre invité en désire lui aussi un. Dans la cuisine, je m’affaire et vous prépare la boisson, je la corse un peu avec le secret espoir que vous n’aurez pas un coup de fatigue prématurément. Quand je reviens vers vous, je vous trouve sagement assis, un sur le canapé, l’autre sur le fauteuil qui lui fait face. Nos regards se croisent et toi et moi savons bien que la soirée n’est nullement terminée. Les tasses sont déposées sur la table basse et vous vous servez. Je me mets à genoux entre vous deux comme pour attendre votre bon vouloir. Quand tu me fais un clin d’œil complice, je comprends que c’est à moi de reprendre les choses en main, où ailleurs du reste. Lentement, je pose ma main sur la cuisse de Jean-Michel, puis mes doigts remontent pour enserrer le mat qui est flaccide. Au contact de ceux-ci, je sens comme un frémissement, un tressaillement qui le parcourt et il recommence à monter. Toi, confortablement installé sur ton canapé, tu te contentes d’observer la scène et tu sembles apprécier. Puis c’est ma bouche qui vient encore faire grossir le bâton de chair qui n’en attendait pas moins. Il devient conséquent et il palpite entre mes lèvres. Ma main elle, se déplace sur ce mat, retrousse le gland que j’aspire et je malaxe les testicules qui me prennent toute la paume. L’homme a posé ses mains sur mon cou et les laisse errer sur ma nuque, me forçant ainsi à le prendre plus profondément. La bite entre dans ma bouche pour se coller au ...
... fond du palais, jusqu’à la luette sur laquelle elle prend appui. Et le bassin remue lentement, je sens les vibrations en étoffant un peu. Les mains baladeuses viennent d’atteindre mes seins et les pointes sont prises en étau entre les doigts qui les pincent fortement. Je fais mine de me relever et toi qui t’es approché, me donne une tape sur les fesses, en me disant : — Laisse faire, laisse-toi aller. Mais la douleur irradie mes tétons et j’ai encore un mouvement de recul. Alors sans rien dire, tu te lèves et je sais où tu te rends. Tu viens d’ouvrir notre coffre, celui où tu ranges les engins de tourments dont tu aimes te servir sur moi. C’est avec des bracelets que tu reviens vers le couple que nous formons. Tu es très rapide et en deux secondes, je me retrouve avec, sur les poignets et les chevilles, les pièces de cuirs annelées que tu tenais. C’est au tour des chaînettes d’être arrimées aux anneaux des bracelets. Je lis dans ton regard cette envie de me voir souffrir que je connais si bien. Je ne cherche pas à résister, j’aime aussi ces plaisirs inavouables. Vous venez de me coucher sur la table du salon. Elle est suffisamment spacieuse pour que j’y sois parfaitement à l’aise. Je suis sur le dos et mes membres sont tirés par les chaînes que vous reliez aux pieds de cet autel improvisé. Tu es certain que maintenant je ne bougerai plus d’un pouce. J’attends les supplices, ils vont arriver, je le sais bien. De nouveau, tu es assis sur ton sofa pour regarder ce qui va suivre. ...