Rêveries particulières (2)
Datte: 09/04/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... Les doigts de Jean-Michel sont de retour sur la pointe de mes seins et il les triture sans aucun ménagement. Il se fait un devoir de passer autour de chaque téton une cordelette que tu lui as remis. A l’extrémité de celle-ci, un nœud coulant vient serrer et emprisonner le bout sombre du mamelon. Puis, il tire vers le haut sur la corde qui entraîne le sein tout entier et relie la ficelle à la chaîne qui me retient un pied à la table. Même opération pour le second sein, me voici bizarrement ligotée. Tu me demandes d’ouvrir la bouche, ce que je fais sans rien dire. Tu sors du creux de ta main un petit objet que tu cales entre mes dents, une sorte de ressort puissant qui m’interdit de refermer les mâchoires. Là, je panique un peu mais je n’ai plus le choix. C’est toi qui décide et tu ne t’en prives aucunement. J’ai toujours eu peur d’être ainsi à ta merci, mais les fois précédentes, tu étais seul avec moi et là j’ai la trouille de savoir que vous êtes deux. Tu donnes des ordres maintenant et Jean-Michel les suit. Tu lui demandes de mettre son sexe dans ma bouche et de l’enfoncer le plus loin possible. La bite est sur mes lèvres et elle pénètre sans trouver d’obstacle. Elle est très profondément dans ma bouche ouverte. J’ai juste de la chance c’est qu’elle ne soit pas en érection totale, mais est-ce une chance ? — Puisque tu voulais les toilettes, et bien vas-y soulage toi ! C’est que je t’entends dire à notre invité. La panique me gagne mais comment l’exprimer puisque je ne ...
... peux ni parler ni broncher. Je ne peux que supporter et il me semble que le temps est extrêmement long entre l’ordre et l’accomplissement de celui-ci. Soudain, je sens couler dans ma bouche un liquide chaud, il me submerge, me suffoque comment faire pour ne pas le boire ? Je ne peux pas, il me faut respirer et j’avale le breuvage, c’est horrible, c’est dégueulasse, c’est immonde. La pisse me coule dans le fond de la gorge, puis je bois une première rasade, mais la miction n’est pas terminée. Elle a été longue à venir et elle dure longtemps. J’en ai bu plusieurs fois et j’ai des hauts le cœur, si je ne l’absorbe pas assez vite le liquide me ressort par le nez et c’est une horreur, alors vaincue, je bois à grandes gorgées pour en finir le plus vite possible. L’invité secoue les dernières gouttes sur le bord de mes lèvres, rien ne m’est épargné. Il replonge son bout de chair tout mou dans mon bec grand ouvert. Penché sur moi, le sexe pendant dans ma bouche, il me touche les seins. Ceux-ci meurtris par les ficelles qui les étirent me font mal et il rajoute à ma douleur une autre souffrance. Il les fait ballotter en les remuant de gauche à droite. J’émets des sons inaudibles, mais c’est des hurlements de douleurs qui s’expriment en bruits incompréhensibles. J’entrevois ton regard sur moi et tu sembles fier de ce que je ressens. Les doigts de Jean-Michel viennent de frôler mon clitoris et c’est avec une force inimaginable que je jouis soudain. J’ai l’impression qu’un jet de mouille ...