1. Rêveries particulières (2)


    Datte: 09/04/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... et je comprends le sens de « Petite mort » employée parfois pour désigner l’orgasme. Tu m’as suivi, peur que je perde connaissance et tu sembles soulagé de voir que je suis revenue sur terre. Quel pied, quelle tripe j’ai pris, c’était fabuleux… Je retourne vers vous deux qui, au salon, buvez à nouveau du champagne. J’ai droit aussi à mon verre que tu me sers dès mon arrivée. Je m’étends près de toi sur le divan. Ma nuque repose sur tes cuisses et tu caresses mon front, écartant les mèches de mes cheveux bouclés. Jean-Michel soulève mes pieds et les mets sur ses cuisses aussi. Il me masse les pieds. Je me sens bien, je m’endormirais pour peu que vos câlins ne s’arrêtent pas. Je décide que pour moi il est l’heure d’aller me coucher. Je vous laisse en pleine discussion dans notre salon pour me rendre dans notre chambre à coucher. Je me glisse dans la soie que j’affectionne tout particulièrement et mes yeux se ferment. Les images qui se reforment derrière mes paupières closes sont celles de cette incroyable soirée. Je suis passée en quelques heures du statut de femme respectable à celui de salope que tu donnes à qui tu veux. Le plus étrange dans tout ceci, c’est que je suis déjà dans ma tête, prête à recommencer. J’en suis là de mes pensées quand le sommeil me serre dans ses longs bras. Dans une demie torpeur, j’ai l’impression que quelque chose frotte sur mes fesses. Je ne bouge absolument pas et je sens tes mains qui sont posées sur mon postérieur et le velours de ta queue ...
    ... bandée se colle à ma raie culière. Tu ne cherches pas à me pénétrer, tu veux juste te masturber ainsi. Je te laisse faire, feignant juste de dormir encore. Tes mains montent de mes fesses à mon dos, lissant la peau de ma colonne vertébrale en prenant bien soin de ne pas trop appuyer, de peur de m’éveiller sans doute. Ton sexe est doux et ta respiration m’indique que tu commences à prendre un certain plaisir à me toucher de cette façon. Tu pousses plus fort la bite qui est gonflée, j’en suis tout alanguie. Dans les mouvements que tu fais pour te soulager, je remue imperceptiblement et mon bras touche un autre corps. Celui-là est bien endormi et ma main qui vient de se positionner sur le pubis enserre le truc chaud qui dort sur le ventre de son propriétaire. J’enroule mon doigt dans les poils longs qui s’y trouve et je réalise soudain que la queue qui se frotte sur mes fesses n’est pas la tienne. En effet, Jean-Michel est rasé et toi non. Donc, c’est notre invité qui me tripote gentiment, pour son plaisir. Je joue le jeu à fond et en continuant de faire semblant de dormir, j’adopte une position qui permet au sexe derrière moi d’avoir un angle de pénétration plus adéquate. Et sans forcer, le bout du sexe vient cogner sur les grandes lèvres. Tout doucement, le loup entre dans la bergerie. C’est le gland qui écarte les chairs, puis par petits coups de reins, notre invité arrive à être en moi, juste en me tenant par les hanches. Nous sommes comme deux petites cuillers, imbriquées l’une ...
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