Rêveries particulières (2)
Datte: 09/04/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... jaillit de ma chatte et asperge tout ce qui se trouve autour de moi. Plus il me touche et plus je jouis, je crois que c’est maintenant comme une fontaine qui coule de mon ventre. L’homme a les mains trempées et il les passe et repasse sur mon sexe qui dégouline de partout. Moi au creux des reins, j’ai cette envie de baise, d’être remplie, je voudrais hurler, vous dire de me baiser, de me mettre une queue, là où vous voulez. Je me moque bien de savoir qui me sautera, je veux, j’ai envie d’une bonne bite qui me prendra, qui me fera du bien. Oh ! Je vous en supplie prenez moi, prenez-moi s’il vous plait. Comme je ne peux pas le dire clairement, ma tête va de gauche à droite et un son rauque sort de ma gorge, je ne peux rien faire d’autre que de subir. Les doigts continuent et je suis encore secouée par des spasmes incessants. Je sens que mon clitoris est pincé lui aussi et il doit être gonflé, énorme, roulé entre des doigts qui me font mal. Nouveau départ pour un autre orgasme, je le sens monté du fond de mon ventre, je veux l’empêcher de sortir, le garder en moi, mais c’est peine perdue et me voici encore secouée. Je me cambre sur la table, mes fesses se soulèvent et retombent pour remonter encore ce qui tire sur les cordes qui retiennent mes seins, la douleur me donne encore plus envie de sexe. Je deviens comme folle, Je rue de partout, tendant les chaînes qui me meurtrissent les poignets, qui m’abîment les chevilles. Ma bouche aussi se tord sous la contraction des muscles et ...
... mon voyage au pays de la jouissance reprend de plus belle. Ma poitrine se soulève, m’arrachant des soupirs, je ne gère plus rien, je suis crucifiée, bandante et bandée, je ne suis plus rien d’autre qu’un énorme orgasme. Vous ne me touchez plus, vous vous êtes justes écartés pour regarder ce spectacle que je vous offre. Tu retires l’objet qui maintient mes mâchoires écartées et je hurle comme jamais. Je veux vous sentir ! — Je veux vous sentir ! Caressez-moi, touchez-moi, j’ai besoin de vos mains, de vos bites, je veux du cul, je veux être baisée, je veux que vous me preniez partout. J’implore pendant que roule en moi le tonnerre de mes désirs, la foudre de mes envies. Quand enfin s’apaise le feu qui me dévore, je suis en nage, trempée de sueur de la tête aux pieds. J’ai l’impression que mon ventre s’est vidé, que j’ai perdu tout ce qu’il contenait, que mes tripes sont sorties de moi. Vous ne me quittez pas du regard et tu me délies pieds et poings. Je reste pourtant dans cette position d’écartelée un long moment. Quand j’arrive à m’asseoir de nouveau, je vois sur le tapis qui se trouve sous la table, une auréole sombre, c’est ma mouille qui a fait cette flaque, absorbée par les fibres tissées. C’est un chemin de croix pour me rendre à la salle de bains. Mes jambes me portent à peine et je suis toute molle. J’ai des vertiges et je me dirige comme je peux vers l’eau réparatrice. Sous les jets tièdes, je reprends peu à peu mes esprits. Je n’ai sans doute jamais joui de la sorte ...