Le bal de clôture
Datte: 09/04/2021,
Catégories:
fh,
hh,
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couleurs,
vacances,
intermast,
Oral
pénétratio,
hdanus,
hsodo,
... l’odeur pour éloigner les bestioles. Double effet pour le prix d’un. — Tu parles parfaitement le français, ça me fait bizarre.— Et toi, avec ton air de Gaulois, tu parles le Celte ? Je te verrais bien dans le film « De Gergovie à Alésia » incarner Vercingétorix face à Robert De Niro. Et pan, dans les gencives ! Un point pour elle ! C’est vrai que, avec mon mètre quatre-vingt-douze, mon teint pâle et mes cheveux roux, nattés pour la circonstance, une moustache de surcroît, habillé uniquement d’un pantalon raccourci et d’une paire de spartiates, je ressemblerais au modèle. Carmen est une Française moderne, un pur produit de voyages peu organisés : France volée de l’Est, Navarre transfrontalière, Afrique colonisée, Espagne républicaine, pas question pour elle de succomber au socialement correct. Le lieu connu de Christine est rapidement atteint, la voiture placée à l’ombre, les victuailles et les boissons sont sorties du coffre et déposées sur un plaid, les vêtements ôtés et déposés à même le sol en guise de couvertures. Je suis assis entre Carmen et Fahri, face à Christine. Elle et Fahri ont retaillé leurs poils pubiens, c’est flagrant. La verge de Fahri en paraît plus longue et je vois le mont de Vénus de Christine surmontant la fente de ses lèvres. Mais c’est Carmen que je regarde et admire : des seins d’un joli volume, haut perchés, en forme de poires avec de larges aréoles très foncées et des tétons proéminents. Une forêt vierge travaillée à la façon Le Nôtre : taille à ...
... un centimètre, délimitation par épilation laissant apparaître un étroit et long triangle, noir et frisé comme ses cheveux, qui semble indiquer la direction de la vulve. Cette vision provoque chez moi une montée en température et l’aiguille de mon thermomètre réagit immédiatement. Elle indique 95 %, cote d’alerte presque atteinte. — Si nous mangions tout de suite ? suggère Christine. Je suis d’accord avec elle, je vais pouvoir reprendre mes esprits. — Bien sûr, répond Carmen en me regardant avec son plus malicieux sourire. De plus, j’ai bien envie de goûter au crémant et à ses effets supposés, j’ai faim, j’ai soif,… de tout. Mon état d’esprit ? Absent, totalement. Mes amis avalent de bon appétit toute la salade de pâtes que Christine nous a préparée, arrosée d’eau, bien fraîche pour moi, et de crémant. L’eau me suffit. En allant rechercher d’autres bouteilles, Carmen nous tourne le dos. J’avais admiré le côté face, la façade arrière est aussi belle. Au-dessus de jambes longues, fines et musclées, deux adorables fesses bien rondes surmontées d’une taille fine se balancent au gré de sa démarche, séparées par un sillon qui attire mon regard. Quand elle est de nouveau assise, mon pénis indique douze heures, il est en zone d’alerte, il faut intervenir, en urgence. O O O O O O O O O O — Je vois que je te fais de l’effet, j’ai envie de la toucher, me dit-elle, joignant le geste à la parole. Je regarde, interrogateur, vers Christine déjà occupée à caresser celle de Fahri qui lui pince ...