1. L'oxymore


    Datte: 10/04/2021, Catégories: fh, grp, couplus, extraoffre, inconnu, campagne, amour, volupté, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme jeu, aliments, glaçon, fouetfesse,

    ... sont pas mal non plus a prétendu Caroline. Je monte mettre une jupe. David me dit alors qu’il fallait qu’il retourne dans notre chambre pour y chercher un mouchoir. C’était inévitable. Je n’aurais pour lui, à l’avenir, que mépris et pitié. À peine était-il dans l’escalier que Bernard appliquait enfin ses lèvres sur les miennes. Il lui était loisible en outre de fourrager sous ma jupe et il ne s’en priva pas. J’ai écarté dents et cuisses. — … On ne vous dérange pas trop ? L’homme aux yeux clairs était mince et brun, mal peigné. Son rire montrait de jolies dents. La fille était brune avec des mèches blondes. Hanches étroites et seins trop petits sous un chandail terne. — Vous êtes les bienvenus, proclama Bernard. Je faisais connaissance avec la délicieuse Sylvie. Delphine et Nicolas, je présume ? Je réponds depuis ma plus tendre enfance au robuste prénom de Bernard. Caroline, ma divine épouse, est en haut, comme David, le… mari de Sylvie. Mari ou compagnon, Sylvie ?— Quelle importance ?— Pas la moindre ! En recevant les bises de Nicolas, son bas-ventre collé au mien, et allez donc on est entre amis, je me disais que le week-end commençait plutôt bien, en fin de compte. Quatre bises aussi de Delphine. Rapides, avant qu’elle se précipite dans les bras de Bernard. Ceux-là n’y allaient pas par quatre chemins. Elle allait me piquer mon ex futur amant ! Quant à Nicolas… Faudrait voir. Plutôt beau gosse, mais j’étais habituée à Bernard. Déjà ! Le bruit fit descendre Caroline et ...
    ... David. Il bandait ferme sous son pantalon de toile. Caroline portait une minijupe noire et un chemisier rose. Delphine sembla plaire à David. Abondance de biens ne nuisait en aucune manière à mon versatile compagnon. La première chambre à droite était destinée aux arrivants. On ne leur laissait pas le choix, ils avaient dû être assez explicites au téléphone. Ils savaient aussi que pour la préparation des repas, c’était chacun à son tour. Nicolas a bien voulu s’en charger le premier, il est allé dans le village acheter le nécessaire. Delphine a peu après manifesté l’intention de se changer. — Nous allons monter tes sacs, a dit Bernard. J’étais donc seule avec Caroline, qui me regardait avec bienveillance. Comme elle me demandait si nous pratiquions l’échangisme depuis longtemps, j’ai évidemment menti, ayant horreur de passer pour une imbécile. — Oh… à l’occasion, en fonction des opportunités.— Nos hommes laissent naturellement cette Delphine se déshabiller seule, et se rincent l’œil derrière la cloison, chacun à son tour. Ça commençait bien, entre nous quatre, hein ? Mais on ne peut quand même pas laisser de côté Delphine et Nicolas, ils ne sont pas ici pour cela. On dispose de deux nuits. Moi, je me ferais bien ton mari dès ce soir mais alors il faudrait que tu couches avec Nicolas. Tu aurais Bernard la nuit suivante. Comme je trouvais ce maquignonnage un peu sordide, j’ai répondu qu’on pouvait attendre la fin du repas, et qu’on verrait bien. Elle me répondit que j’avais peut-être ...
«1234...9»