1. Plaisirs troubles - 3/5


    Datte: 02/11/2017, Catégories: Entre-nous, Les femmes,

    ... Charlène, leurs rires. Elle se lève pour remettre en place sa robe roulée sous sa poitrine quand Christelle revient :. — Eh ben ! eh ben ! Tu fais quoi, là ? Viens ! Elle la prend par la main et l’entraîne vers le fond du couloir jusqu’à la salle de bain : — Déshabille-toi … allez, dépêche ! — … je veux rentrer chez moi … — Mais non, pas tout de suite ! enlève cette robe, discute pas ! Christelle fait un pas vers Patricia, les poings sur les hanches, l’œil noir, lève une main vers le visage de Patricia qui se protège du bras en réflexe. Christelle éclate de rire : — Eh ! n’aies pas peur comme ça ! Elle caresse la joue de Patricia et pose un baiser sur sa bouche, la prend dans ses bras pour la câliner en caressant ses épaules, l’embrasse encore avant de s’écarter. Patricia pose son front sur l’épaule de Christelle et pleure doucement : — … j’ai mal … — Je vais m’en occuper, t’en fais pas, c’est rien ! Allez, chérie, enlève cette robe. Patricia soupire et s’exécute, parce que c’est plus facile d’obéir que de se battre. Dans son dos Christelle dégrafe son soutien-gorge et prend ses seins en coupe : — Moi aussi, je t’ai fait mal ? J’aime bien tes seins … de gros seins pour une fille toute menue, j’aime bien … oooh ! et tes tétons qui se dressent encore ! Patricia se mord les lèvres et ferme les yeux à la caresse, aux doigts qui font rouler ses tétons. — Ta culotte, enlève-la. Patricia soupire, baisse les épaules de résignation et obéit, se penche pour enlever son petit slip ...
    ... noir. — Appuie-toi à la baignoire que je vois ça ! Ecarte ! D’une main sur son dos, Christelle penche Patricia en avant et de l’autre lui fait ouvrir les cuisses. — Bouge pas, j’ai ce qu’il faut. Reste comme ça. Nue, ne portant plus que ses Dim-up, Patricia ne bouge pas, pliée en deux les mains sur le rebord de la baignoire. Un contact froid, glissant, sur son anus sensible : — Penche-toi mieux … oui, écarte bien ! Elle obéit. C’est humiliant. Mais elle obéit sans discuter, se contracte en sentant le doigt s’introduire en elle, — Ça va te calmer, t’inquiète pas, ça y est ! Viens laver ces grosses larmes. Et tant que tu y es, tu laves ça aussi ! Dans le lavabo, Patricia voit le gode, rouge et veiné, moins gros qu’elle n’aurait cru après la douleur qu’il lui a procuré, dégoûtée et honteuse de voir l’extrémité salie de matières fécales, osant à peine y toucher, les joues cramoisies. — Tiens ! essuie-le ! Et te plains pas, Charlène aurait pu en prendre un plus gros ! Christelle la pousse vers la chambre d’une main au creux de ses reins : — S’il te plaît … Laisse moi partir ! — Pourquoi ? Quelqu’un t’attend chez toi ? T’as un copain ? — Non. — Eh ben tu vois ! T’es pas pressée ! Elle pousse Patricia au pied du lit où Charlène est allongée à plat ventre, le nez dans un coussin. Charlène s’est retournée et regarde Christelle l’installer : — C’est pas jojo, tes poils ! T’as qu’à faire comme moi ! Elle écarte les genoux et expose à Patricia son sexe nu en riant. Elle montre du menton la ...
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