1. Les Normands - Episode I


    Datte: 02/11/2017, Catégories: fh, hh, fhh, hbi, hplusag, fplusag, vacances, Oral 69, pénétratio, couple+h,

    ... garçons, dit la sportive en partant courir. Nous restons tous les deux, intimidés, sans que l’un ou l’autre ne sache quoi faire de son regard et de ses mains. Hallucinant comme l’on peut être emprunté dans ces cas-là. Je termine le croissant et le bol de cacao mais nous n’avons encore rien dit. Pourtant le corps caverneux coincé sous le jean ne demande qu’à s’exprimer. Je suis fébrile, je n’ose pas faire le premier pas, Marc est dans le même état, le regard fuyant. Ma bouche n’écoute que mes pulsions lorsque je dis simplement : — On range la table et on va dans ta chambre. Tout est rangé en quatrième vitesse, nous n’essuyons pas la table, ne lavons pas les couverts. Nous nous engouffrons dans la petite pièce qui est le lieu de nos ébats secrets. Cet endroit est celui où nous pouvons laisser libre cours à nos jeux. Pas de caresses ou de déshabillages sensuels, chacun se dessape et trouve sa place sur le matelas. Tête-bêche nous nous prodiguons des caresses buccales. Pas de gloutonnerie, juste des coups de langues, de mignonnes succions, des mordillages, que ce soit sur le bout, la hampe ou les testicules. C’est dans cette position que notre Gina nous retrouve après sa petite course matinale. Nous relevons la tête lorsqu’elle nous apostrophe depuis la porte d’entrée de la chambre. — Amusez-vous mes loulous, je vais me doucher. Nous l’écoutons et reprenons ardemment nos agacements. Je suis maintenant sur lui, je bouge mon bassin pour entrer et sortir de sa bouche, tout est en ...
    ... proportion de sa taille et il m’avale entièrement sans hoqueter. Je finis par me vider dans sa gorge, il me tient les fesses pour ne pas que je m’échappe, il recueille ma semence jusqu’à la dernière lippée. Monsieur n’a pas encore joui, je me positionne entre ses jambes et les lui écarte. Je peux m’occuper du monstre sacré, comme je l’appelle, il sourit lorsque je l’appelle ainsi. J’ai accès à ses bourses que je gobe une à une, ses gémissements me vont droit au cœur, je continue de les titiller en le branlant. Derrière moi, dans l’embrasure de la porte, je sens la présence de sa femme, cela décuple mon excitation. Je m’applique à lécher sa peau presque imberbe, « J’ai toujours été comme ça », m’a-t-il avoué quelques minutes plus tôt. J’applique mes paumes sous ses genoux et le force à les ramener sur sa poitrine. J’arrive à lécher ses fesses mais pas le fond de la raie où se cache un petit orifice que j’ai la furieuse envie de taquiner. Ce qui est étrange, c’est qu’il n’a que le ventre de vraiment proéminant, membres et torse ne sont pas disproportionnés. Il sait que son abdomen gêne la manœuvre et me dit avant de se mettre à quatre pattes : — Ce sera mieux comme ça ! Il me présente son postérieur, je bande comme un âne, de plus j’entends Gina faire des commentaires grivois à son mari. Elle le traite amoureusement de cochon lubrique, de coquin. Il ne m’en faut pas plus pour apposer ma bouche sur la fleur rosée pendant que mes mains s’occupent de ses attributs virils. Il ne faut ...
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