Ma plus belle expérience de voyeur.
Datte: 11/04/2021,
Catégories:
Masturbation
Mature,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Depuis longtemps je voulais raconter ce moment étrange que j’ai vécu il y a plus d’une quinzaine d’années. Pendant une longue période j’ai été un peu mal à l’aise face à cette histoire ; mais comme souvent les sentiments évoluent et maintenant le fait de le me remémorer provoque une certaine excitation. Bien sur les faits sont vrais, même si encore aujourd’hui je me demande parfois, en y repensant, si je n’ai pas rêvé…Nous étions à la fin du mois de juin une belle journée chaude mais supportable ou l’arrivée de l’été ne fait plus aucun doute. Ces jours de ciel azur sans un nuage où l’on a l’impression que le temps s’est arrêté et que tout est possible. Malgré la prévision d’une journée chargée (une réunion professionnelle importante, à plus d’une centaine de kilomètres), je me sentais radieux. Afin de partager les frais, j’avais accepté le co-voiturage avec une collègue, même si cette dernière n’était pas du tout ma tasse de thé. Son style très « sérieuse » et son coté très « coincée » me faisait craindre le pire pour la conversation durant le trajet.Durant le voyage aller, cela fut absolument comme prévu. Entre notre travail et les banalités sur la scolarité de ses enfants, je m’ennuyais ferme. Par chance à l’époque les radars étaient plus rare et je pouvais ainsi me concentrer sur ma conduite et la rendre plus sportive. Cela avait pour double effet de faire taire ma passagère, et de raccourcir le temps de trajet.La réunion fut comme prévue longue et éprouvante. Pourtant ...
... nous n’avons pu nous soustraire à un petit verre offert par un collègue très apprécié de tous qui nous quittait.Est-ce la chaleur, la fatigue, ou aussi l’arrivée toute proche des vacances qui nous ont poussés à accepter de rester assez longtemps. Je ne cache pas que le fait de voir ma collègue (que nous appellerons Valérie), et qui avait l’habitude de toujours se défiler face à l’alcool, accepter de fendre l’armure en prenant une coupe, m’amusait assez. Je la laissais se faire remplir son verre, par notre hôte, sachant que cette fois, elle ne pouvait fuir faute de chauffeur prêt à la ramener. Ainsi le retour serait surement plus drôle…Après les adieux, et malgré le risque pour moi d’être un peu limite au niveau de la législation, j’ai repris le volant. Toutes vitres ouvertes (pas de climatisation de série à cette époque) et cette fois, beaucoup plus doucement, nous traversons les champs de blé de la Beauce, sur une départementale déserte en ce soir d‘été. La conversation était plus difficile avec les bruits du vent. Nous étions assez fatigués mais étrangement bien et décontractés. Valérie souriait et se laissait bercer par la brise douce du soir. Ses cheveux libérés de leur pince virevoltaient au vent. Elle était manifestement sous l’emprise de l’alcool et cela la rendait beaucoup plus détendue et disons le : belle…Au bout d’une demi-heure, je ressentis déjà le besoin de faire une pause afin d’assouvir un besoin évident. Sans la prévenir je reculais sur quelques mètres dans un ...