Ma plus belle expérience de voyeur.
Datte: 11/04/2021,
Catégories:
Masturbation
Mature,
Voyeur / Exhib / Nudisme
... chemin entre deux parcelles de blé. J’ai quitté la voiture sans un mot pour ma passagère, et plus loin face au blé et au soleil couchant j’ai pu épancher ma vessie. Au retour je m’excusais maladroitement sans trop savoir quoi dire au juste. J’allais repartir, lorsque Valérie m’interrompit dans ma manœuvre. Je ne sais plus trop comment elle me présenta son problème en minaudant… Elle voulait, elle aussi satisfaire le même besoin urgent. Je ne comprenais pas trop ou était le « problème ».- Oui, vas-y, si tu veux… loin dans les blés, j’ai le temps.- Euhhh- Quoi qu’est-ce qu’il y a ?- Tu ne vas pas me croire mais je déteste faire cela dans la nature, depuis toujours, j’ai peur…Je savais que les femmes craignent toujours d’être vues et qu’elles n’aiment pas se trouver visibles ainsi accroupies, mais ici dans cette mer de jaune avec rien à l’horizon cela frisait la parano. Tant qu’à la route avec mon véhicule reculé dans le chemin et les blés de chaque côté bien malin celui qui pourrait la voir en passant. Elle était vraiment coincée celle-là.Elle finit par me parler de sa phobie des petits animaux au sol qui lorsqu’elle serait ainsi livrée nue, pourraient la … « pénétrer »... Est-ce l’alcool et la fatigue, je n’en croyais pas mes oreilles la BCBG coincée me racontait ses phobies… assez sexuelles d’ailleurs.Elle finit, par admettre que le chemin était parfaitement lisse et désherbé. D’ailleurs avec tous les produits épandus maintenant par les agriculteurs, il ne devait pas rester ...
... beaucoup de « petites bêtes ».Au bout de quelques très longues minutes elle revient… Et on repart sans un mot. Je tente de parler mais elle semble vraiment moins détendue. Elle doit s’en vouloir d’avoir livré « son secret » si facilement. Il n’y a pourtant pas de quoi fouetter un chat.Une trentaine de minutes plus tard elle rompt le silence…- Arrête toi vite, je ne peux plus me retenir !Elle m’avoua qu’elle n’avait pas pu se libérer dans le chemin et que la cela devenait maintenant intenable. Je m’arrête dans le premier chemin venu, cette fois en pleine forêt. Une barrière à l’entrée m’empêche d’aller plus loin. Il va falloir y aller à pied cette fois ou faire sur le bord de la route… Elle minaude encore, les bois, la tombée de la nuit maintenant, la route trop proche… Elle a l’air paniquée.Je compatie et je lui propose de chercher un autre endroit un peu plus loin dans les champs, même si nous venons de rentrer dans la forêt d’Orléans et que la Beauce est derrière nous. Mais pour elle impossible de supporter les secouses de la voiture à nouveau. Elle serre les jambes comme une petite fille…Finalement, elle me supplie de l’accompagner dans la forêt. L’envie de rentrer pas trop tard et aussi peut-être la curiosité d’une situation très particulière me pousse à accepter. Ces jambes serrées cette moue de petite fille, me trouble vraiment. Nous sortons du véhicule, elle a du mal à marcher comme si à chaque instant elle pourrait à tout moment se libérer. Elle m’avoue ne pas s’être ...