1. La Pu tain à blacks


    Datte: 11/04/2021, Catégories: Inceste / Tabou Voyeur / Exhib / Nudisme Mature,

    ... telle jouissance. Il étaitpatent que mon mari m'avait dédaigné sur ce plan. A plus de quarante ansje voyais ma jeunesse inéluctablement s'enfuir. J'étais furieuse que latruie bénéficiât d'un régime qui m'était refusée. Cependant assumer lechemin jusqu'à l’adultère requérait un effort invincible.Un temps avais-je oublié cette terrible circonstance, la venue de Traoréavait cependant rallumé mon désir pour la gente noire. L'été venu ce futinfernal. Mon beau black tout de sueur exhibait malgré lui ses pectorauxà travers un tee-shirt. Cela devint intolérable. Ma voisine s’enquit àle draguer. Puis un jour je sus que peu après le service elle l'avaitinvité à un café. Cela se répétât. A la mine ravie du doudou, je n'eusplus de doute. Il se tapait la putain. Le mors de la jalousie griffaitmes chairs. Je me touchais le soir songeant à leurs ébats.Bientôt en vins-je à l'allumer à mon tour. De loin étais-jeincomparablement plus belle et désirable que l'autre idiote. Je mesavais femme superbe et brune. De ces bourgeoises sur lesquelles on setourne dans la rue et qu'on désire d'autant qu'on les saitinaccessibles. Un temps m'étais-je flattée d'être vouée et protégée parce piédestal. A présent il me pesait d'être respectée et abandonné tropsolitaire sur ce même piédestal. Je voulais descendre de celui-ci etrouler dans la fange comme ma voisine. La jouissance et le bonheurétaient à ce prix.Je faisais attention que mon mari n’entrevit rien de mon jeu. Il se futvengé, je le sais sur le ...
    ... pauvre Traoré. Aussi m'assurais-je qu'il ne futpas là quand j’allais vers Traoré bouteille de jus à la main, sourirebarrant mon visage et la robe fendue par le devant qui laissait voir descuisses que je savais belles. Dès la première fois, l'expérience futprobante. Outre son regard illuminé, je pus aviser rapidement par labosse du pantalon que mon joli petit mâle bandait. Je lui faisaisindéniablement de l'effet. A mon tour ma culotte mouillait.Bientôt je n'eus de cesse de voir si son sexe était aussi gros quel'éboueur de l'autre été. Je le voulais cueillir dans ma bouche. Iln'était pas juste que cette queue ne fut sucée que par la voisine.N'était-il pas mon employé ? Il se devait à moi autant qu'à mon mari. Lescrupule de l'adultère s'éloignait peu à peu. Par maintes gestes etposes je poursuivais mon jeu de séduction. Ainsi effrontément mebaissais-je souvent devant lui afin que sous une courte jupe il vit tantmes cuisses que mes fesses dont un string n’exemptait nul détail.J'espérais qu'il me devinât et passât outre ma réserve et mon apparencede timidité. Je n'en tins pas moins à l'idée de le débaucher. Uneaprès-midi après que j'eus posé une RTT, je l'invitais à déplacer unmeuble dans mon salon. Il faisait irrémédiablement chaud. Ce climatdisposait à la langueur et à la volupté. J'avais un petit haut quimanifestait assez l'opulence de mes seins et l'on pouvait deviner sousma jupe, un string par le devant si trans parent et que j’avais peuavant acquis sur un site spécialisé. Bref ...