1. La Pu tain à blacks


    Datte: 11/04/2021, Catégories: Inceste / Tabou Voyeur / Exhib / Nudisme Mature,

    ... j'étais harnachée comme une pute.Il mit de temps quelque temps à oser. Ce fut après que nos regards sefussent croisés et trahissent l'éloquence d'un désir mutuel qu'il osâtporter la main sur mon sein. Après tout se précipitât et se mêlât. Nosbouches se collèrent. Il me plaqua contre un mur en pétrissant peu aprèsmes fesses. Tout explosa telle une révélation. Je devins à cet instantune autre et nouvelle femme. Que de temps perdu ! Que n'avais-je passéavant ce rubicond. J'en avais les larmes aux yeux. Je me rappelle avecquelle hâte je pris son beau sexe dans ma bouche.Notre étreinte se poursuivit sur le carrelage. Nous nous comportâmesavec furie et bestialité. Je n'étais pas peu étonnée de ma fougue et dema gourmandise. Je ne m'eus pas cru si garce. Je serais mal venue àprésent de critiquer et de snober la voisine. Non moins qu'elle jebranlais et suçais hâtivement mon nègre. J’adorais que celui-ci mefouillât la chatte. Je grimpais à mon tour au ciel. Ce ne fut qu'au boutd'une semaine que je consentis à être dépucelée du cul. Traoré fitmontre de délicatesse. Je ne parvins à la jouissance là-dedans que lesjours suivant.Il y avait aussi une idée de vengeance car un jour outrepassant lescrupule de l'amant, je l’entraînais dans le lit conjugal afin qu'il mebaisât dans cet endroit sacré où ronflait chaque nuit son inepteemployeur. Je savourais la tête de celui-ci s'il nous eût vu. Il auraitdécouvert avec effarement que sa femme était une chienne et avait uneprédilection pour les ...
    ... noirs. Je ne mériterais que plus tard ce titre deputain à blacks. Ainsi tout l'été jusqu'à l'automne fus-je besognée etpénétrée par mon doux Traoré. Ce dernier n'ayant de cesse de m'honorer.Puis vint ce jour funeste où mon mari m’annonçât irrité que legouvernement avait établi des restrictions quant à l'avantage fiscal.Bref il avait signifié à Traoré qu'on se passerait désormais de sesservices. J'en fus mortifiée. Nous nous vîmes cependant à l'extérieur.Il me baisait souvent dans la voiture. Puis peu après il partit pour unvoyage en son pays. Puis manifestement il changea de coup de numéro. Jen'eus plus de nouvelle. Un autre de ses amis, rencontré m'annonça qu'ils'était marié au pays. Je ne pouvais qu'être contente pour lui.Pour finir cette histoire, une connaissance de mon mari lui conseillaconcernant ma dépression, un ami psy. Pour contenter mon mari et commepour me débarrasser j'acceptais. Ledit psy outre de me prescrire desmédocs, me dirigea vers un kiné. Je m'empressais de jeter à la corbeilleles médocs et n'en allait pas moins aux séances kiné auxquelles je nepouvais déroger. A ma surprise ce kiné était un joli black dont levisage m'évoqua de suite mon ancien et doux amant. On eût cru que dansmon malheur celui-ci s'était réincarné en un autre.Ce Kiné se prénommait Jean-Philippe. Au mental il n'avait rien à voiravec le doux Traoré. Il me séduisit sans scrupule. Il avait aviséd'emblée mon genre vicieux. Il me dit avec le dernier cynisme que leremède pour mon genre de salope ...