Petit cinéma
Datte: 11/04/2021,
Catégories:
fh,
fhh,
extracon,
cinéma,
fsoumise,
hdomine,
Oral
pénétratio,
fsodo,
totalsexe,
... mon gland contre la cuvette rouge d’où suinte un peu de sperme. Je pousse un peu, je m’enfonce sans problème jusqu’au frein. Je respire un grand coup, mon fantasme va devenir enfin réalité. Je soulève sa fesse pour mieux dégager son sillon. La femme se positionne de façon à me faciliter l’entrée. Oui, c’est incontestablement une femme très docile, une chienne en chaleur comme disait l’autre. Avant de plonger en elle, je lui demande de ma voix la plus mâle : — Tu veux que je t’encule, petite garce ?— Oh oui ! Je le veux !— Et pourquoi tu veux que je t’encule ?— Parce que je suis une salope, une pute qui adore ça !— Bonne réponse ! Alors je m’enfonce petit à petit dans son rectum par divers va-et-vient. Dieu que c’est bon ! C’est chaud, c’est extra, c’est étroit juste comme il faut ! Oui, enculer une femme, c’est franchement une expérience à vivre, surtout quand c’est avec une femme très permissive. Enfoncé à mi-garde en elle, j’adore ce goût de l’interdit. Je regarde ma queue à moitié engloutie, et je me décide en tout faire entrer, pour mieux posséder cette femme en chaleur, la pénétrer au plus profond de son intimité. Elle commence à se masturber, sans doute pour mieux supporter mon intrusion en elle. Quant à moi, je goûte le plaisir ultime d’être à fond en elle, de toucher en quelque sorte le graal ultime, même si celui-ci est niché dans les profondeurs d’un sombre tunnel. Mais voilà, quand on touche du bout du doigt, ou plutôt du bout du gland, son fantasme, il est ...
... difficile de rester concentrer. J’ai beau serrer les dents, tenter de penser à autre chose, mais je sens, je sais que je ne vais pas tenir longtemps ! C’est alors que cette garce remue ce popotin dans lequel je suis si bien enfoncé, ce qui déclenche aussitôt un flot de sensations extraordinaires, une vague délirante, un tsunami d’étincelles contre lequel je ne peux rien ! — Ah, la salooope ! Les vannes s’ouvrent, irrésistiblement. Me relâchant totalement, je me déverse complétement, noyant tout sur mon passage, tandis que j’entends à son tour jouir la femme sous moi. À nouveau, cette sensation grisante d’être un taureau, un étalon, voire le roi du monde, s’empare de moi. Oui, j’ai déjà joui de diverses façons, mais ici, là maintenant, ça dépasse tout ce que j’ai pu connaître ! J’ai drôlement bien fait de venir est ma dernière pensée avant de sombrer dans un repos réparateur mais que j’espère bref, car quand on a la chance de pouvoir baiser une telle femme, on en profite à fond, on en profite à mort ! Avachie sur son fauteuil, notre belle salope somnole, récupérant petit à petit de ses multiples jouissances. Alors que je reprends des forces, mon comparse en vices se penche sur moi : — Alors, que pensez-vous de ma femme ?— Votre femme ? Mais je croyais que vous étiez blond ! Oui, sur la photo, souvenez-vous ! Désignant du doigt ses cheveux bruns, il sourit : — Pas du tout. Je vous ai envoyé une photo sur laquelle ma femme est accompagnée d’un de ses nombreux coquins, oui, afin de ...