1. Découverte


    Datte: 11/04/2021, Catégories: hplusag, fplusag, fsoumise, fdomine, soubrette, Masturbation portrait, fsoumisaf,

    ... droite. Elle resserre les jambes instinctivement et rougissante, elle bégaye : — Non, rien de mal… je fais rien de mal ! Je ne sais ce qui m’a pris alors. Moi qui ai toujours été très polie, voire obséquieuse avec Madame, je lui lance : — Tu n’es qu’une femme dépravée. Par devant, c’est bondieuseries et bigoterie et puis derrière, tu fais ces cochonneries-là. Tu me répugnes !— Oh oui, je suis une mauvaise femme… Je me dégoûte moi-même. Elle se met à genoux devant moi en pleurant et se serre contre mes jambes. Implorante, elle me supplie : — Punis-moi, je le mérite. Punis-moi ! Je sens monter en moi un trouble profond qui me bouleverse, une excitation bien plus puissante que celle que je ressens lorsque je me caresse le soir dans mon lit. J’attrape Madame par les cheveux et la traîne dans sa chambre ; je m’assois sur la chaise de la coiffeuse et je la couche sur mes cuisses. Et je frappe, je frappe de toutes mes forces, je lui administre une fessée magistrale. Madame geint mais se laisse faire. On dirait qu’elle aime ça ! Et moi aussi, j’aime ça. Je serre les cuisses sur mon sexe en feu jusqu’à ce qu’un orgasme me secoue. La pression retombe alors tout à coup et je fais relever Madame. Elle se tient debout devant moi, honteuse, un avant-bras sur sa poitrine et l’autre main sur sa toison, elle baisse la tête, pleurant toujours et murmure : — S’il te plait, ne dis rien à personne…— Dorénavant, je t’interdis de me tutoyer et quand nous serons deux, tu m’appelleras Dame Hélia. ...
    ... Cela m’est venu d’un seul coup. J’avais lu récemment qu’hélios désignait le soleil. Le symbole du soleil me plaisait : il est chaud, brûlant même, mais c’est aussi la source de la vie. — Habille-toi, tu me fais honte.— Pourriez-vous vous retourner, ma Dame ?— Non, je te regarde, ça fait partie de ta punition, et ne te retourne pas, je veux voir aussi ton visage. Elle retire la combinaison qui avait tire-bouchonné à sa ceinture et, complètement nue, elle se jette encore à genoux devant moi, presque prosternée : — Je vous en supplie, ma Dame, ne dites rien à personne. Je ferai tout ce que vous voulez, mais ne dites rien. Je serai votre esclave et ça me fera plaisir.— Tais-toi, tu m’écœures. Habille-toi, on en reparlera. Elle se relève, va chercher ses vêtements qu’elle dépose sur le lit, en face de moi et, les yeux baissés, pleurant toujours doucement, elle s’habille lentement. Je peux ainsi la détailler sans avoir l’air insolent. C’est vraiment une très belle femme : sa poitrine vigoureuse se balance doucement et ses hanches sont larges. Son ventre bien rond, mais ferme, surmonte une toison fournie et très sombre, aux reflets roux. Ses cheveux, dénoués, couvrent entièrement son dos jusqu’à la naissance des fesses. Une fois ses sous-vêtements enfilés, elle change de combinaison puis me regarde avant de prendre sa robe de velours. J’interviens : — Tu ne trouves pas qu’il fait un peu chaud pour cette robe ? Elle me regarde avec des yeux battus, va dans son armoire et me présente une ...
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