1. Abel (Suite de Gédéon)


    Datte: 11/04/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... là les bras forts d’Abel me collaient à lui. J’étais bien. Mon cavalier était fort, dansait si bien, la musique était si douce. J’ai fermé les yeux et me suis laissé bercer en le laissant me serrer de plus en plus contre lui. Près de nous dans la pénombre des couples s’embrassaient à pleine bouche, des corps se cherchaient. Quand la bouche d’Abel s’est posée dans mon cou et en m’embrassant est remontée à mon oreille, je n’ai pu m’empêcher de frémir. J’ai toujours aimé cette caresse. Je ne me suis pas dérobée me suis même encore plus serrée contre lui. Il m’a encore embrassée dans la nuque, puis m’a parlé à l’oreille. - Tu es bien dans mes bras ? - Oui, tu danses bien ! -Tu me plais tu sais, tu ne regrettes pas d’être avec moi et pas avec ton Roger ? -Roger n’avait qu’à pas se faire punir. Toi tu es là et j’aime bien être dans tes bras, Tu me plais toi aussi, je suis avec toi ce soir tant pis pour Roger, serres moi contre toi ! Alors ses grandes mains d’homme on commencer à courir sur moi, sur mon dos, mes reins et mes fesses. Elles m’ont plaquée sur lui et alors je n’ai pu ignorer l’effet que je lui faisais. Sa verge était dressée, dure, si dure contre mon ventre. Grisée par l’envie que le désir provoqué chez mon cavalier, je n’avais pas tenté de m’écarter. Habituée des bals, ce n’était pas le premier garçon qui en dansant m’avait fait sentir sa virilité dressée. Cela me troublait toujours un peu, mais je n’avais jamais cédé. Même quand après les avoir suivi derrière le bal ...
    ... pour me laisser embrasser et peloter un peu, je les laissais toujours sur leur faim. Certains avaient parfois le droit de m’embrasser les seins, de sucer mes tétons, me caresser entre les cuisses par-dessus ma petite culotte. Aucun ne m’avait eue, même Roger. Lui il avait le droit de me caresser partout, mettre ses doigts dans moi. Il était le seul qui avait réussi à me faire lui donner du plaisir avec ma main sur lui et un peu plus certains soirs quand il me rejoignait dans ma chambre chez mes patrons absents, mais sans me pénétrer complètement. Avec Abel, comme avec les autres j’étais certaine de pouvoir me défendre. J’allais sans doute le suivre dehors. Au pire je le soulagerai avec ma main pendant qu’il embrasserait mes seins. J’aimais bien me retrouver dans cette situation, je masturbais alors le garçon pour préserver ma vertu. La verge d’Abel était grosse, je le devinais à ce que je sentais contre mon ventre. J’allai aimer la caresser dans ma main et lui donner du plaisir. La lumière avait encore baissé, seuls quelques petits spots bleus éclairaient encore faiblement le bal. Près de nous, je le devinais que des filles se laissaient peloter. Il y avait des soupirs et parfois des petits gémissements de plaisir. Les corps s’échauffaient, des mains s’égaraient, les caresses s’enhardissaient sur des intimités qui ne demandaient plus qu’à s’ouvrir au plaisir. Contre moi, Abel était dur, son membre était pressé sur mon ventre. Quand sa bouche s’est posée sur la mienne, j’ai ...