1. Abel (Suite de Gédéon)


    Datte: 11/04/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... laissé sa langue venir se lier à la mienne. Pendant notre baiser, j’ai senti sa main remonter sous ma robe entre nos deux corps et venir entre mes cuisses au contact de mon slip. De suite, ses doigts sont entrés sous le frêle rempart de ma féminité. Un doigt impatient a ouvert les lèvres humides de ma vulve et a effleuré mon petit bouton si sensible. Ce doigt l’a trouvé durci, sorti de sa petite gaine. Abel m’a caressé un moment tout en continuant à m’embrasser. J’étais excitée comme jamais un garçon n’avait pu le faire. Mes jambes fléchissaient, mes cuises s’ouvraient. En homme habitué aux femmes Abel a compris que j’avais envie de faire l’amour, que j’étais à lui s’il le voulait. - Viens, sortons on sera mieux dehors ma chérie, viens j’ai trop envie de toi ! Me tenant par la main, profitant de l’obscurité complice pour quitter le bal nous avons fendu la foule des danseurs pour gagner la sortie. Je l’ai suivi le coeur battant sachant ce qu’il allait m’arriver en allant avec lui.Dehors dans la nuit noire, un arbre nous a accueillis. Plaquée contre l’écorce rugueuse je me suis laissé de nouveau embrasser à pleine bouche. C’était la première fois que je faisais çà avec un homme de cet âge, les autres fois mon danseur avait mon âge ou presque. De suite les mains d’Abel ont été partout sur moi, mes seins, mes cuisses, mes fesses, ma chatte. Mon corsage a été ouvert et mes jeunes seins dévorés par une bouche gourmande pendant que sous ma robe, deux mains habiles baissaient ma ...
    ... petite culotte jusqu’à mes chevilles. Je ne savais plus trop ce que je faisais. Il savait y faire mon Abel. Sa main sur moi était si douce, si entreprenante, si caressante sur mon clitoris et entre les lèvres de ma vulve. Puis le doigt est venu sur ma grotte et en a forcé l’orée. J’avais envie d’être prise, j’ai poussé un gémissement et n’ai pu empêcher mes jambes de se dérober sous moi. La bouche gourmande dévorait toujours mes seins. Il y a eu la main entre nos corps alors qu’Abel avait légèrement reculé son ventre. J’ai alors deviné qu’il sortait son sexe. Il allait me prendre, me dépuceler. J’étais sans force et j’en avais envie. Il m’a soulevée en me tenant sous les cuisses. Dans mon dos, l’arbre complice l’aidait dans son entreprise. - Tu veux bien faire l’amour, j’ai envie de te prendre ma chérie, tu me plais trop ! - Oui mon chéri, prends moi, mais fais attention, je l’ai jamais fait avec Roger, je suis vierge. - L’idiot, il ne t’a pas encore fait l’amour. Je vais être doux ma chérie, tu vas aimer çà ma belle. Il n’y a pas eu d’autres mots. Entre mes cuisses bien écartées que j’avais d’instinct nouées dans les reins de mon séducteur, J’ai senti le gland dur venir entre mes lèvres intimes et se placer à l’entrée grande ouverte de mon sexe. Abel a poussé lentement son dard en avant en le faisant descendre sur lui. Le gland a écarté mes chairs intimes et s’est entré dans moi. C’était plus gros qu’avec mon petit copain Roger, que deux ou trois fois, en faisant bien attention ...