1. Eric (1)


    Datte: 12/04/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... effrayée, car elle constate qu’il n’y a qu’un lit, mais Éric a un copain qui peut lui prêter un matelas et il dormira dessus. — Ne te fais pas de soucis Maman, je vais emprunter un étage plus haut, à mon copain Jean, un matelas, je sais qu’il en a un en réserve et il me le prêtera bien. Après avoir pris une douche, les deux ressortent, bras dessus bras dessous, et d’abord, ils vont dans un petit bistrot où ils prennent une souper léger arrosé d’un bon rosé de Provence bien frais. Yvette se sent revivre et elle est toute pétillante de bonheur, elle s’accroche au bras d’Éric, très heureuse de ce début de séjour. Ils vont au théâtre où c’est tellement drôle et cocasse qu’elle en a la rate qui se dilate fortement. C’est dans un sens une histoire qui pourrait se calquer une peu à la leur ou à ce que pourrait être la leur, C’est l’histoire d’un vieux couple avec le mari qui n’a plus de puissance et sa femme plus jeune passe son temps à lui broder des cornes. Mais lui n’est pas fâché, il sait qu’il ne peut plus et de voir sa femme heureuse lui convient très bien. Yvette y est un peu songeuse en pensant à cette histoire et son fils auquel elle s’agrippe car elle a largement fait honneur au rosé. Au fur et à mesure qu’ils se rapprochent de la maison, elle sent une chaleur qui lui prend les entrailles. Elle la connaît bien, elle est comme on dit en chaleur. Elle ne sait comment cela va se passer quand ils seront plus que les deux, elle est un peu anxieuse, sa vie est à un tournant qui ...
    ... peut-être formidable ou au contraire tomber en catastrophe. Enfin ils arrivent au studio et ils s’installent pour la nuit. Eric sur son matelas à raz le sol. Au bout d’un moment, Yvette : — Tu dors ? — Non, je n’arrive pas, je suis chose. Il se coule contre elle sans réfléchir qu’il est vraiment très excité. Elle sent contre sa cuisse cette colonne qui vient s’appuyer. — C’est moi qui te met dans cet état ? Demande-t-elle d’une voie un peu rauque. — Qui veux-tu que ce soit d’autre ! J’ai surpris ta conversation avec papa l’autre nuit et depuis je n’arrête plus de penser à toi. C’est à ce moment que j’ai réalisé que tu n’étais pas seulement ma mère, mais une magnifique femme délaissée. — Aie, c’est un peu ce que je craignais, moi aussi je suis en manque et je dois dire que ce qui s’appuie contre ma cuisse me chauffe le corps violemment. — J’en ai parlé à Père, il n’a conseillé de le remplacer 100 %, je ne sais ce qu’il a voulu dire par 100 %, mais je suppose que j’ai sa permission de combler ses lacunes sentimentales. — Oh mon chéri, dit-elle en le prenant dans ses bras. Comme je suis heureuse, cela fait si longtemps que je n’ai pas eu un vrai homme dans mes bras. Elle le sert contre sa poitrine et il peut sentir son coeur battre, il commence par luiembrasser le cou puis descend sur l’épaule et là il sent qu’elle est très émue, elle lève son bras pour lui prendre la tête, mais à ce moment-là il a pratiquement son aisselle sous le nez et avec le parfum qui s’en dégage, il ne se ...
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