1. Alys


    Datte: 13/04/2021, Catégories: fh, ffh, fbi, frousses, inconnu, grossexe, grosseins, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Transexuels Oral 69, pénétratio, sf,

    ... doux frôlements des doigts le long des cuisses. Mais après quelques minutes de cette agréable torpeur, je me retournai pour venir m’allonger à côté d’elle, juste derrière son dos, et l’embrassai tendrement dans le cou en refermant de nouveau une main sur sa poitrine et l’autre entre nos deux corps contre ses fesses. La demoiselle était si troublante, si parfaite, si excitante, que je retrouvai prestement ma plus vigoureuse fermeté… et lorsqu’elle écarta doucement les cuisses, je m’enfonçai d’un seul coup profondément en elle, lui arrachant une longue plainte d’extase. Alys accompagna de mouvements du bassin mes premiers amples et puissants va-et-vient. — Oh oui ! Oui ! Aaaah ! C’est trop bon ! criait-elle. Nos gémissements allaient croissants, à mesure du rythme de plus en plus rapide que nous imposions. Ma partenaire finit par se défaire de mon étreinte et se retourner pour venir me chevaucher ; elle maintint tendu mon sexe sous son corps et s’y empala d’un trait, se lançant de nouveau dans de puissantes oscillations dont elle avait désormais tout le contrôle. Ses seins étourdissants se balançaient juste au-dessus de mon visage, et je m’en enivrai à chaque battement. Les cris de plaisir de la jeune femme étaient devenus des hurlements sauvages. — Alys ? Il m’avait semblé deviner une voix, qui venait d’en bas, de l’entrée de l’appartement. Ma partenaire, elle, n’avait rien entendu, c’était évident ; elle continuait de se balancer au-dessus de moi en criant. — Chhuut ! lui ...
    ... fis-je en posant une main sur sa bouche et en m’immobilisant. Écoute ! Elle poussa une dernière plainte étouffée, mais cessa de bouger à son tour. — Alys ? demanda encore la voix cette fois très distinctement. C’est toi qui fais tout ce bruit ?— Mon dieu, c’est ma maîtresse ! s’affola ma partenaire tandis que nous entendions marcher au niveau inférieur.— Bah, tu as bien le droit de baiser, temporisai-je tout bas en relançant quelques légers mouvements de mon bassin.— Il ne faut pas qu’elle te trouve ici ! La jeune femme s’extirpa de mon étreinte et, le plus silencieusement possible, alla ramasser mes vêtements qu’elle me rendit en boule tandis que je me levai à mon tour, le sexe toujours tendu. — Alys ?— Oui, madame ? répondit innocemment ma divine rouquine en m’indiquant un grand meuble, muni d’une glace, qui devait être une armoire vers laquelle je me ruai pour me cacher.— Eh bien, tu en faisais du raffut !— Euh… je… je suis désolée… bafouilla ma délicieuse conquête tandis que des pas se faisaient entendre dans l’escalier. Je me recroquevillai à l’intérieur de la penderie, sous de nombreuses belles tenues multicolores, et Alys repoussa silencieusement les portes derrière moi. Deux traits de lumière m’éclairaient, l’un passant par le trou de la serrure que n’obstruait pas totalement la clé, et l’autre le long de la porte qui n’était pas bien jointive. Je tentai de trouver une position confortable, m’agenouillant sur mes fringues en boule, et écoutant. — Que faisais-tu donc ? ...
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