Alys
Datte: 13/04/2021,
Catégories:
fh,
ffh,
fbi,
frousses,
inconnu,
grossexe,
grosseins,
fsoumise,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Transexuels
Oral
69,
pénétratio,
sf,
... doute peu encline à se battre… je pourrais sans aucun doute la maîtriser physiquement… Mais elle dut comprendre mes intentions. — Il me suffit d’un ordre pour faire intervenir les gardiennes de l’immeuble, et tu ne sortiras jamais d’ici vivant. Elle était belle, vraiment, et l’air rude dont elle s’était parée accentuait encore la délicatesse de son visage. Cette fois, elle avait lâché son pénis qui commençait à retomber quand même. Est-ce qu’elle bluffait ? Je me tournai vers Alys ; celle-ci leva les yeux vers moi et acquiesça d’un clignement de paupières appuyé. — Bien… Comment t’appelles-tu ? Son ton s’était adouci. — Johan.— Écoute, Johan, tu vas m’obéir sans broncher, et tu pourras peut-être sortir d’ici libre, d’accord ? Je soupirai avant de répondre. — Et quels sont vos désirs, madame ? Elle fronça les sourcils, mais ce ne fut pas le ton pourtant franchement insolent de ma réponse qui l’avait étonnée : — Quel est cet accent ? Tu n’es pas d’ici ? Où l’as-tu trouvé, Alys ?— Dans la rue, dans le Quartier Central.— D’où viens-tu ? D’où t’es-tu échappé ?— Je ne me suis pas échappé. La belle blonde s’avança vers moi, sa verge désormais pendante oscillant entre ses cuisses, et vint effleurer mon visage de sa main gauche. — Hmmm… cette arrogance, ce visage audacieux, ces yeux intrépides… Ses doigts glissèrent sur mes épaules, puis sur mes côtes, descendant doucement. — … ce corps musclé, et cette… virilité… Elle tourna les talons et s’éloigna vers une banquette. — Tout ce ...
... qui nous dégoûte tant… Et pourtant chez toi… Une fois assise, elle reprit : — Non, à l’évidence, tu n’es pas d’ici. Elle observa un moment de silence en me dévorant encore de haut en bas de ses yeux amusés. — Je veux que tu me baises et que tu me fasses crier comme tu as fait crier Alys tout à l’heure. Si tu y parviens, tu seras libre. Prépare-le, Alys. La désinvolture avec laquelle elle avait ordonné cela me laissait sans voix. La somptueuse servante se releva et ôta de nouveau ses vêtements. Sans réaction, je l’observai s’approcher de moi, presser ses seins lourds et chauds contre mon torse, glisser une main entre mes cuisses, lever la tête pour que ses lèvres viennent effleurer les miennes. — Écoutez, commençai-je d’un ton véhément juste avant son étreinte, je n’ai pas l’habitude d’ob… Mais je n’eus pas le temps d’achever ma phrase. La jeune femme m’interrompit en m’embrassant, pressant mon visage contre le sien de son autre main derrière ma tête. Et dans ses grands yeux verts qui cherchaient les miens se lisait un mélange de soumission et de conviction. Sans parler, elle me disait d’accepter. Bon, c’est vrai que ça aurait pu être pire… Être contraint de baiser, je pouvais sans doute m’en accommoder… Mais là, la situation, la façon dont cette… créature abusait de son emprise sur nous… Et puis d’ailleurs, la baiser, je voulais bien, mais comment ? elle voulait que je l’encule ? Depuis le canapé, elle nous observait, nous dévorant tous les deux des yeux, et s’était remise à ...