1. Repasser son permis de conduire


    Datte: 13/04/2021, Catégories: ffh, hplusag, fplusag, fsoumise, miroir, Masturbation 69,

    ... me semblait avoir déjà vu cet homme. Sa carrure s’était étoffée, ses cheveux bruns n’étaient plus aussi couvrants, une belle barbe poivre et sel de trois jours et ses traits étaient plus marqués. Il me fit un petit signe de la main et un sourire carnassier de chasseur : — Je ne te présente pas Louis, tu as dû prendre quelques leçons avec lui. Louis et ses yeux bleus… Oui ! Bien sûr que je me rappelle. C’est lui qui me donnait mes premières leçons de conduite. Il avait toujours le même regard perçant qui faisait chavirer les cœurs de toutes mes copines qui prenaient de leçons. Un bel homme qui se servait de son statut de moniteur pour draguer les jeunettes sur son terrain de chasse. Il avait aussi déclenché à l’époque un sursaut à mon cœur. J’étais aussi secrètement amoureuse de lui. Je me sentis toute stupide et faible, presque nue dans l’eau sous ses yeux. J’avais été idiote d’accepter de plonger. Mais quelle nouille j’étais ! Trop nulle, ma fille. Alors ni une ni deux, je sortis pour filer me cacher dans une serviette. Sauf que serviette il n’y avait pas. Virginie ne les avait pas sorties. Je tournai et retournai à leur recherche bras croisés sur mes seins, un peu comme un canard à qui on avait coupé la tête. La transparence de mon shorty aurait forcé n’importe quel homme à jeter un œil sur moi. Et Louis se régala du spectacle. Je finis par m’asseoir en boule sur une chaise longue. Cette petite exhibition involontaire et l’envie dans ses yeux déclenchèrent chez moi une ...
    ... petite montée d’adrénaline. Jamais Louis n’avait prêté attention à moi jusqu’à ce jour. — Tu as des fesses magnifyyyyyq’, ma chérie. Virginie imitait une présentatrice de télévision brésilienne. Mais elle disait vrai. J’adore mes petites fesses que la forme des shortys sublimait. — Tu sais, c’est la fille du Mas Verdagué, Élodie, elle a pris des cours chez nous. Certes, j’avais honte de cette situation qui s’imposait à moi. Mais c’était aussi un petit fourmillement dans mon bas-ventre que je ressentais. Bas-ventre sur lequel ils n’avaient cessé de se poser leurs regards tous les deux. À les voir ainsi, j’aurais parié qu’ils étaient amants. Et probablement échangistes. Louis ouvrit un bac et en sortit une grande serviette de bain. — Ah oui, Élodie, je me souviens de toi. Tu as bien changé, Élodie, je ne me rappelais pas de toi comme cela. En fait, il m’avait toujours totalement ignorée. Virginie était repartie faire une longueur. Louis venait de me sauver en bon gentleman. Il me tendit la serviette, cessant d’avancer vers moi, m’obligeant ainsi à me lever. Son regard se baissa sur ma poitrine qui s’enflamma, passa sur mon nombril qui se recroquevilla et se posa sur mon shorty qui me sembla s’effacer pour ne laisser apparaître que mon sexe rose et blond. Cette exhibition imposée devant lui me fit frissonner. Après ce grand moment de trouble, Virginie sortit de l’eau à son tour. Elle me raccompagna chez mes parents et l’histoire s’arrêta là. Le soir même, et le reste de mes congés ...
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