1. Repasser son permis de conduire


    Datte: 13/04/2021, Catégories: ffh, hplusag, fplusag, fsoumise, miroir, Masturbation 69,

    ... je repensais à ce qui était arrivé cette après-midi-là. Ce concours de circonstances incroyable, cet enchaînement de situations où je n’avais pas d’autre choix que de me dévoiler nue devant eux. Cet alignement des planètes était troublant. ************ Mes congés se terminaient. Mais trois jours avant de rentrer sur Paris, je repassai mon permis. Je n’avais qu’une chance de le réussir, sinon il me faudrait le passer à nouveau sur la capitale, ce que je redoutais plus que tout. Virginie m’attendait au centre d’examen. J’étais dans la dernière session de l’après-midi et compte tenu de mon nom de famille qui commençait par les dernières lettres de l’alphabet, j’étais la dernière à passer. Je suis très assujettie au stress et cette attente interminable n’arrangeait pas mes affaires. Je ne regardais que les candidats aux mines défaites et d’autres en train de pleurer. Ma peur était à son maximum quand ce fut à moi de prendre le volant. De plus, Virginie était arrivée avec une nouvelle voiture toute rutilante. Mais je ne connaissais pas ce modèle et n’avait jamais conduit avec. Je la maudis de me faire cette mauvaise surprise-là. Après une attente interminable, mon tour arriva. Et la surprise. L’examinateur dans la voiture était Louis. — Tiens, Élodie. Bienvenue. J’étais très surprise de le voir là. Je me sentis rougir comme une sotte. Le parfum mâle de Louis envahit l’habitacle. Il m’expliqua qu’il avait réussi le concours d’examinateur et qu’il était passé de l’autre côté de la ...
    ... barrière. Je ne sais comment l’expliquer, mais leur présence ici dans cet espace clos me donna très chaud. J’avais souvent repensé le soir seule à ma mésaventure au bord de la piscine de Virginie. Leur façon de me regarder. De me redécouvrir différemment. De désirer mon petit corps. Virginie s’assit à l’arrière de la voiture. Je fis mes contrôles et calai deux fois au démarrage. Cela commençait bien. Louis essaya de me rassurer. — Vous me semblez bien nerveuse, ma petite Élodie. Détendez-vous, respirez. Virginie en rigolant fit semblant de me caresser les épaules dans un massage improvisé. Mais elle toucha mon cou si sensible et ce contact fut des plus électriques. Mes petits tétons se dressèrent en une milliseconde. Comme je portais juste un petit haut sans manche, Louis ne manqua rien de mon grand moment de solitude. — Vous voulez que je baisse la clim, Élodie ? Louis suggérait que le froid avait fait s’ériger mes tétons. — Non je crois qu’elle à chaud au contraire, poursuivit Virginie. Ses mains étaient passées tout en caresse de mon petit cou si sensible à mes épaules. — Je crois même qu’elle est toute chose, n’est-ce pas, Élodie ? Je dois avouer que j’étais plus que troublée. Jetant un coup d’œil sur Louis je vis qu’une belle bosse s’était formée sous ses jeans. Ce n’était pas pour me calmer. Mes joues étaient rouge cramoisi. Heureusement pour moi, Louis abrégea ma souffrance en me demandant de partir en direction de la porte d’Espagne. Malgré ma nervosité, je repris le ...
«1...3456»