Brainstorming pendant la FOP
Datte: 13/04/2021,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
intermast,
humour,
... peu à du harcèlement ; elle aussi, d’ailleurs. Match nul. Mais qui ne tente rien ne réussit jamais. « Osons ! » comme dirait François. ⁽¹⁾ Loin de déclencher un esclandre, la belle Aude croise ses jambes, m’emprisonnant la main. J’ai la paume sur la soie du bas, le dessus de mes doigts sous la peau de sa cuisse. C’est chaud, doux, moelleux ; en un mot, agréable. « Gloups ! » De son côté, elle remonte légèrement sa jolie menotte vers mon mât de cocagne qui se sent brutalement à l’étroit dans mon caleçon. À quoi joue la délicieuse Aude ? Elle libère ma paluche en décroisant les gambettes, mais elle les écarte légèrement, juste de quoi laisser passer la main d’un honnête homme. Une invitation, en quelque sorte. J’envoie mon petit doigt en éclaireur. La peau est douce, tiède et souple. Son petit copain l’annulaire arrive en renfort. À la manière d’une cordée d’alpinistes, ils se servent de la jarretelle comme guide. Aucune réaction hostile de l’intéressée ; bien au contraire, elle écarte encore un peu plus les cuisses. Telle celle d’un serpent ⁽²⁾, toute ma main se faufile lentement sous la jupe, caresse la peau, monte de plus en plus haut pour atteindre le dernier rempart de sa vertu. Mon auriculaire va aux nouvelles ; il touche la porte du paradis : la petite culotte. Pendant qu’à l’écran monsieur Martin s’échine à installer une caisse dans une fourgonnette en se coinçant les doigts, les miens caressent le léger vallon qui se creuse sous la fine soie humide. Soudain, Aude ...
... s’agite. Aurais-je commis un impair ? Aurais-je eu un geste déplacé ? Elle repousse ma main, glisse les siennes sous sa jupe et se trémousse. Je vois alors apparaître un bout de tissu blanc. « Elle retire sa petite culotte ! » L’opération terminée, elle récupère ma main et la pose d’office sur sa cuisse. Mes doigts qui n’en font qu’à leur tête, comme animés d’une vie propre, reprennent leur reptation vers la terre promise. Pendant ce temps, madame la DRH vient saisir mon périscope qui se déploie. Aude déboucle la ceinture de mon pantalon, abaisse la fermeture Éclair, investit mon caleçon et saisit à pleine main l’objet de sa convoitise. Messire en devient plus rigide et plus volumineux encore. Heureusement que je porte des sous-vêtements amples – les castagnettes détestent être comprimées – elle peut aller et venir à sa guise là-dessous, monter et descendre le long du mât d’artimon. — Rahh, dis-je.— Hihi, répond-elle. Je ne reste pas inactif. Ma main remonte la via ferrata de son porte-jarretelles, mes doigts atteignent et découvrent ses lèvres déjà bien humides. Aude tressaille lorsque mon index les caresse avec tendresse. Elle avance les fesses jusqu’au bord de son siège et écarte encore plus les jambes, en une invite muette. Je risque un œil vers le bas. Grâce aux lumières du film, je peux voir sa chatoune au pelage sombre ainsi que ses lèvres avant que mon doigt ne s’insinue dans ces sombres contrées chaudes et humides et ne pénètre sa grotte. Aude soulève le bassin à la ...