1. Brainstorming pendant la FOP


    Datte: 13/04/2021, Catégories: fh, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme intermast, humour,

    ... rencontre de ma main ; elle semble apprécier le traitement, aussi j’envoie du renfort. Majeur et index entrent et sortent en cadence. Sa main toute douce glisse le long de mon sexe au même rythme, de bas en haut et du gland aux noix. Elle sait y faire… elle me donne un cours de botanique, passant des fagacées aux juglandacées en un va-et-vient infernalement délicieux. Je vibre de la tête aux pieds en passant par le pédoncule. Cette danse érotique dure quelques minutes. Bien coordonnés au début, nos mouvements deviennent de plus en plus anarchiques. Je crois que nous faisons une compétition : qui arrivera à faire exploser l’autre en premier ? Je pose ma paume sur son mont de Vénus et appuie doucement là où doit se trouver son petit coqueclito tout beau et imprime un lent mouvement de rotation. La manœuvre réussit : elle en oublie de manipuler mon levier de vitesses, mais continue à le serrer bien fort. Aude Alamur plaque sa main sur la mienne, comme pour l’empêcher de se retirer. Quelle idée ! Bien au contraire j’enfonce encore plus profond mes doigts, les agite de plus belle. Ils entrent et sortent en émettant un joyeux clapotis. Sa liqueur coule à flots maintenant. Son bassin est agité de délicieux mouvements incontrôlables et incontrôlés. Tendue comme un arc, elle prend appui sur ses talons et sa nuque et propulse son ventre à la rencontre de ma main. Ses yeux se ferment et sa bouche s’ouvre ; elle semble manquer d’air. Je sens ses parois se resserrer et palpiter autour de ...
    ... mes doigts. C’est un des plus beaux moments de mon existence. Peut-être vingt secondes durant elle reste ainsi tétanisée. Nos patounes crispées l’une sur l’autre, elle me force à rester au plus profond de sa personne et à presser son pignon de pin. Elle tente de se retenir, mais pousse tout de même de petits gémissements, heureusement couverts par les hurlements de monsieur Martin qui vient de se faire un lumbago en soulevant une caisse. La salle rit des malheurs du pauvre homme : ça nous arrange ! Puis ma belle s’affale, un sourire béat aux lèvres. Au bout de quelques secondes, elle se redresse. — À mon tour, dit-elle avec une moue gourmande. Elle se met à masser, caresser, branler mon battant de cloche avec application. Il ne va pas tarder à sonner le tocsin ! Nous nous regardons dans les yeux ; elle voit monter dans les miens le plaisir et la jouissance. Galant, j’ai laissé mes doigts là où ils étaient, bien au chaud. Je la sens encore palpiter de la félicité que je viens de lui donner et de celle qu’elle me procure. De mon bas-ventre vient une pression qui remonte le long de ma colonne vertébrale, percute mon cerveau qui la renvoie dans mon sexe. Il explose, le bougre, gicle de partout, arrosant la main de ma bienfaitrice, l’intérieur de mon caleçon, engluantissant tout. Ses lèvres viennent se plaquer sur les miennes, sa langue m’investit, me défroisse les papilles. Elle ne possède pas une bouche, mais une pompe à vide ! En imaginant son effet sur mon stylo velu, j’envoie ...