1. Recrutement


    Datte: 14/04/2021, Catégories: fh, grosseins, fsoumise, Oral fsodo, attache, fantastiqu, merveilleu, sorcelleri,

    ... trottinant et gazouillant derrière le duo. Pendant que le mercenaire allait à la rivière toute proche pour se rafraîchir, Saphiranna rangea ses parures de prière dans un coffre de bois, gravé de runes druidiques, qu’elle cachait sous son lit. Elle leur prépara ensuite un goûter modeste, composé de pain frais, de saucisson et de légumes séchés. À son retour du cours d’eau, le mercenaire ne portait rien d’autre que ses chausses. Il déposa ses vêtements et son armure dans l’écurie, près du box où Odok avait mis sa monture, Ravage. Il entra ensuite dans la demeure forestière. Il resta un moment sur le pas de la porte, contemplant le corps invitant de la druidesse qui lui tournait le dos. Le tissu fin de sa courte robe épousait avec un érotisme puissant les courbes de son corps. Bien qu’il soit entré en silence, elle se retourna soudain et remarqua son regard qui glissait sur ses formes. Un sourire espiègle se dessina sur ses lèvres. Elle s’avança avec brusquerie et saisit son entrejambe, le pressant assez fort pour lui arracher un petit cri de douleur. — Qu’est-ce qui te permet de croire que je vais te laisser me prendre, alors que tu m’as annoncé que tu ne restais qu’une nuit ici ?— Deux choses. En premier, nous avons justement une nuit entière pour nous amuser autant qu’en une semaine. Et ensuite, tu en meurs d’envie, ma belle druidesse. Allez, je vais trouver un moyen pour me faire pardonner de devoir repartir si hâtivement. Elle lui sourit avec gourmandise, son regard rivé ...
    ... au sien. Elle relâcha son emprise sur sa verge et entama un lent frottement, le sentant sans surprise durcir sous ses doigts. Elle attendit qu’il soit aussi ferme que possible, puis extirpa le solide pilier de chair chaude de son vêtement. Elle en stimula le gland du bout des doigts, arrachant des grognements d’encouragement au mercenaire. Il posa ses mains chaudes sur le corps de sa compagne, appréciant la sensation de ces mamelles lourdes dans ses mains. Il l’embrassa goulûment, puis glissa une main inquisitrice sous sa robe. Sa compagne sentit avec ravissement un doigt épais stimuler son clitoris et sa fente, l’aidant ainsi à devenir bien humide. — Je croyais que nous devions manger d’abord, demanda Saphir d’un ton faussement troublé.— C’est toi que j’vais manger, répondit Korim, le regard vorace. Il la prit par la taille et l’assit sur le rebord de la table, puis il s’agenouilla devant elle, écarta ses jambes et enfouit sa tête entre ses cuisses. Elle feula de contentement quand il entreprit de sucer son bourgeon. Elle passa la main dans son épaisse crinière et pressa son visage sur sa vulve. Il poussa alors sa langue nerveuse en elle, se délectant de son jus intime et de ses gémissements. Comme toujours, elle fut surprise de la facilité qu’il avait à la mener vers l’orgasme. Bien vite, elle hurla de plaisir, le dos arqué et le corps foudroyé par la jouissance. Les vagues de plaisir ne s’étaient pas encore complètement dispersées que le mercenaire s’était déjà redressé et ...