Circonstances particulières
Datte: 15/04/2021,
Catégories:
fh,
Inceste / Tabou
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
mélo,
consoler,
... disposition de robe de chambre. Une fois hors de sa chambre, il cherche Léa dans toutes les pièces, sans vraiment appeler, pour finir par conclure qu’elle doit sûrement encore dormir dans sa chambre. Un rapide coup d’œil, à peine indiscret, dans le trou de la serrure lui permet de s’en assurer. Une bonne douche s’impose pour bien affronter cette journée. N’ayant toujours pas de serviettes sous la main, il décide de se débrouiller sans. Il se laissera sécher à l’air libre. Après tout, il n’est pas pressé. Une fois sous la douche, Bertrand prend le temps de se laver, de profiter de cette chaleur apaisante qui lui fait du bien après les émotions de ces dernières heures. Il laisse les gouttes d’eau traîner sur son corps, sur son torse, sur ses fesses, et retomber par terre dans un bruit mélodieux. Une fois à peu près sec, Bertrand sort discrètement de la salle de bains et se dirige rapidement vers sa chambre, nu avec ses vêtements sous le bras pour ne pas les mouiller, quand il entend soudain la poignée de la porte de Léa s’agiter. Il a à peine le temps de s’engouffrer dans l’escalier menant à sa chambre que la jeune femme est dans le couloir. L’a-t-elle vu ? Léa sort de sa chambre dans son peignoir, bien fermé, et se dirige à son tour vers la salle de bains. Perdue dans ses pensées, elle ne ferme pas totalement la porte. Elle se dévêt et laisse respirer ses seins. La jolie vision qu’elle a dans le miroir ne suffit pas vraiment à la réconforter après la mauvaise nuit qu’elle ...
... vient de passer. Ses yeux bouffis ne donneraient envie à personne de l’approcher. Une bonne douche très chaude lui fera du bien. L’eau coule sur son corps et enlève un peu de tension. Elle se laisse aller à un certain bien-être. Elle ne doit surtout pas s’oublier dans son chagrin. Après tout, son père était malade depuis longtemps, elle savait qu’il allait mourir un jour. Bien sûr on ne sait jamais quand et lorsque ça arrive, on n’y est jamais assez préparé. Léa ferme les yeux et penche la tête en arrière pour se laver les cheveux. Un peu de shampoing et les beaux reflets cuivrés disparaissent sous une épaisse mousse. Soudain, elle pousse un cri suraigu et ferme précipitamment les robinets. Bernard accourt quelques instants après, inquiété par ce cri. — Qu’est-ce qui se passe ? Tout va bien là-dedans ? demande-t-il au travers de la porte.— Non, il n’y a plus d’eau chaude et je n’ai pas terminé, je ne me suis pas rincée. Bernard remarque alors que la porte est entrouverte et ne peut s’empêcher de jeter un coup d’œil à l’intérieur. Elle est belle à voir la cousine, la tête pleine de mousse et le corps recroquevillé par le froid. Pas de serviette pour elle non plus, elle a dû oublier d’en apporter. Les bras croisés sur sa poitrine, elle tente de se réchauffer et semble peser le pour et le contre d’une douche glaciale. Comme si l’eau chaude allait revenir par miracle. Peut-être après tout, avec une vieille maison on ne sait jamais. — Est-ce que je peux faire quelque chose ?— C’est ...