À la cime des arbres
Datte: 15/04/2021,
Catégories:
ff,
jeunes,
frousses,
rousseurs,
couple,
uniforme,
avion,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
chaussures,
Masturbation
massage,
intermast,
Oral
... s’offre à nous.— Tu prends jamais rien au sérieux, toi ! Bon remarque, tu n’as pas tort, c’est assez joli…vu d’ici. Et c’est ainsi qu’Esden et moi, dans les bras l’une de l’autre attendons l’arrivée de l’équipe de l’aérodrome pour nous descendre. Nous observons le paysage qui nous entoure. Une légère brise nous rafraîchit par moments, ce qui n’est pas pour nous déplaire. D’après l’équipe, ils devraient être là d’ici une petite heure, alors nous avons le temps de nous laisser aspirer par ce décor. Au bout d’un certain temps, Esden qui est tout contre moi mordille très légèrement le lobe de mon oreille droite et y dépose cette légère réflexion : — Au fait, pour tout à l’heure. Moi aussi, je t’aime… Je me retourne et mes yeux plongent dans les siens. J’incline la tête doucement puis elle reprend. — Oui, quand tu étais morte de peur. Tu as crié « Je t’aime ». Ça m’a touchée, me confie ma douce.— Bah oui, j’ai cru que ça allait mal tourner, alors au pire, je voulais te le dire une dernière fois… dis-je en rougissant.— C’est touchant, c’est… Esden avance son visage puis elle m’embrasse le plus simplement du monde, ses cheveux roux tombent sur nous comme un voile. Notre baiser me repousse contre le bord de la nacelle. Je dégage ma bouche et regarde Esden pour lui faire comprendre l’étrangeté de la situation. — Pas là… dis-je mi-amusée, mi-réticente.— Là, je sais pas. Mais maintenant, pourquoi pas ? me répond Esden avec un regard plein de malice et un sourire coquin. Esden ...
... m’embrasse une nouvelle fois, plus féline que jamais et laisse tomber sa veste en cuir. Le bruit de celle-ci tombant sur la nacelle scelle notre désir. Je tente de la repousser d’abord vraiment puis très vite par jeu. Mes mains se faufilent à travers les embrasures de sa chemise, sa peau est déjà chaude. J’oublie très vite la faiblesse de notre installation, perchée au-dessus des arbres. Nos lèvres créent un tourbillon de feu, chaque baiser étant la réponse du précédent. Je caresse sa nuque jusqu’à lui faire lâcher un marmonnement de satisfaction. Esden saisit mes bras menus et de cette manière, elle m’emmène vers le fond de la nacelle. Sur les genoux toutes les deux, se mordillant le cou, le menton, les lèvres parfois les oreilles, nous ne tardons pas à tomber. Appuyée contre ce lit d’osier, je subis les assauts de baisers et caresses de ma tendre. Le délice de cet échange me trouble encore plus et par quelques gymnastiques ma chérie ôte mon débardeur puis, d’un clic, dégrafe mon soutien-gorge. Ma poitrine respire, mes tétons pointent et cette simple provocation excite encore plus mon amante qui se jette dessus pour un pincement on ne peut plus érotique. Je suis si sensible des tétons que je gémis par cette caresse. Esden interrompt ce traitement parfaitement savoureux pour me dire : — Dépêchons-nous, ils ne vont pas trop tarder et je veux profiter de toi…pleinement… Ce dernier mot résonne dans ma tête comme une pure invitation à la débauche charnelle. Je me redresse et retire mon ...