1. À la cime des arbres


    Datte: 15/04/2021, Catégories: ff, jeunes, frousses, rousseurs, couple, uniforme, avion, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme chaussures, Masturbation massage, intermast, Oral

    ... Esden prononcer avec un faux calme : — Accroche-toi, on va se poser ! Alors je m’accroche où plutôt je tente de le faire, vu que les endroits pour le faire sont plutôt minimes, mais ce qui m’inquiète le plus c’est que je ne sais absolument pas où et encore moins comment on « va se poser ». Je me mets à crier lorsqu’une ombre assombrit toute la nacelle et une seconde après c’est notre habitacle entier qui se met à trembler de toutes parts. Les yeux fermés, je ne vois rien de ce qui se passe et c’est sans doute mieux, le vacarme est terrible et je suis terrifiée. À tel point que le pire passe dans ma tête et je bondis au hasard pour agripper Esden. Par chance, mes bras enserrent sa taille et tout en la serrant du plus fort que je puisse, je crie ce qui me semble être pour la dernière fois : — Je t’aime Esden ! Une larme coule le long de ma joue, au même moment le silence semble reprendre le dessus, la chute est finie mais qu’en est-il de la situation ? Une main chasse ma larme et je sens les bras que je connais si bien tenter de me calmer. — Chérie, c’est fini… Calme-toi. Tout va bien à présent… susurre la voix d’Esden, encore plus douce qu’à son accoutumée. Mon esprit comme mon cœur se calme, les yeux ouverts, je perçois peu à peu les formes autour de moi et en premier plan Esden qui me regarde droit dans les yeux. Cette seule image suffit pour me rassurer et me faire comprendre que tout est bel et bien fini et que cette chute semble s’être relativement bien passée. Ma tête ...
    ... virevolte pour essayer de comprendre la situation. Autour de moi, Esden, bien sûr, dans la nacelle et ensuite quelques branches mais surtout le vide ou plutôt l’espace et l’horizon. Ce n’est que lorsque je regarde vers le bas que je devine enfin notre point d’atterrissage. Aussi surprenant que cela puisse paraître, nous nous étions posés, si « posé » est le bon terme, sur la cime de plusieurs arbres, reposant ainsi sur un fatras de branches et de feuilles. Intriguée par la situation, je me retourne vers mon amour pour lui demander : — Chérie, tu es sûre qu’on ne peut pas tomber ? Et on fait comment pour descendre…— Vu comment on est encastrées dans les branches, je crois qu’on ne peut plus bouger… En revanche, t’as pas tort pour descendre, ça va être coton. Enfin, t’inquiète, on a nos portables. J’vais appeler l’aérodrome et l’équipe de mon copain qui nous a prêté la montgolfière, après ils trouveront bien une solution… En tout cas tu vas mieux toi ! Tu commences à retrouver des couleurs de… vivante ! me répond Esden.— Oh c’est malin, moque-toi de moi ! J’ai eu une de ces frousses ! J’te signale quand même qu’on vient d’atterrir sur un arbre ! Madamemoiselle t’inquiète-il-ne-va-rien-se-passer-et-pas-de-problème-je-sais-me-servir-de-cet-engin !— Ouais, okay, tu marques un point, là…J’ai quand même fait poser cet engin, comme tu dis ! Allez c’est fini…et puis profitons de la situation. Regarde, nous avons une superbe vue ! me dit-elle en me désignant du bras le vaste paysage qui ...
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