1. Virginités


    Datte: 16/04/2021, Catégories: fh, fplusag, fagée, anniversai, Oral pénétratio, fsodo, init,

    ... toi. Tu me conduis à ta chambre ? Éberluée et troublée, je ne savais que répondre. — Mais enfin, je suis vieille et grosse, et tu peux draguer de jolies filles de ton âge.— Tu n’es ni vieille ni grosse, ça fait longtemps que je suis célibataire, et ça fait trop longtemps que tu es en manque. S’il te plaît, ne te prive pas et ne me prive pas de quelques heures agréables. Il me prit par la main et m’entraîna vers l’étage. Je le suivis sans résistance. Ma volonté de femme mûre était anesthésiée. Je savais (ou je croyais) que cette situation était une aberration absolue, et en même temps j’avais envie de dire oui. Ma raison me criait « refuse » et mon corps me chuchotait « accepte ». Je choisis de ne rien dire du tout, et je montrai à Sylvain la porte de ma chambre. — Je passe un instant à la salle de bain, et j’arrive, lui dis-je.— Fais comme chez toi, répondit-il en souriant. Je me déshabillai et fis un brin de toilette. En me regardant dans le miroir, je me demandai sincèrement pourquoi Sylvain me trouvait à son goût. Je fus sur le point de me rhabiller et de descendre dans le salon, puis je pris mon courage à deux mains et gagnai timidement ma chambre, vêtue seulement d’un peignoir. Sylvain m’attendait, étendu sur le lit, presque nu. Il n’avait conservé que son boxer. — Je ne suis pas vraiment pudique, dit-il en se levant. Je m’en débarrasserai plus tard, si tu le souhaites. Il dénoua la ceinture de mon peignoir et, sans me demander mon avis, écarta les pans et le fit ...
    ... glisser par terre. Il me prit dans ses bras et m’embrassa dans le cou. — Si tu veux, on arrête tout. Ce serait dommage, mais c’est toi qui décides. Sylvain prit mon silence pour un consentement et me fit étendre sur le lit. Sa bouche se posa sur mon front, sur mon nez, sur mes lèvres. Nos langues se mêlèrent et s’entrelacèrent pour un baiser comme je n’en avais plus connu depuis des lustres. Une main se posa sur un sein, le soupesa, le malaxa tandis que sa bouche se posait sur l’autre pour le sucer. J’avais des fourmis dans tout le corps, c’était divin. Puis mon jeune voisin s’installa entre mes cuisses écartées et se pencha vers mon sexe. Quand sa langue se mit à jouer avec mon clitoris, je compris, à ma grande surprise, que le plaisir allait arriver très vite. Tandis que sa langue virevoltait autour de mon clitoris, les mains de Sylvain s’occupèrent à nouveau de mes seins. Je sentis la vague monter, gonfler, déferler, et l’orgasme me submergea. Quand je revins sur terre et ouvris les yeux, Sylvain me regardait tendrement, en souriant. — On continue ? demanda-t-il.— Toi, tu n’as rien eu… on continue. Comme nous sommes lui et moi donneurs de sang, comme ni lui ni moi n’avions eu aucun rapport non protégé (et moi pas de rapport du tout !), nous décidâmes de nous passer de préservatif. Sylvain fit glisser son boxer et son sexe dressé apparut devant mes yeux. Il le présenta aussitôt à l’entrée de ma vulve et s’enfonça lentement. Après quelques va-et-vient qui de nouveau me firent ...