1. Virginités


    Datte: 16/04/2021, Catégories: fh, fplusag, fagée, anniversai, Oral pénétratio, fsodo, init,

    ... je ne veux rien t’imposer, bien entendu.— On peut essayer. J’ai même du lubrifiant dans ma table de nuit.— Tiens donc !— Quand Roger rentrait d’une virée entre potes, il me grimpait dessus sans le moindre préliminaire, sans aucune préparation. Il me pénétrait, s’agitait un peu, se vidait les glandes et s’endormait. Le repos du guerrier, qu’il disait. Tu parles ! Le lubrifiant dont je me tartinais le sexe avant son retour m’évitait simplement certains désagréments.— Tu me confies le flacon, tu me remets en forme, et je t’emmène au paradis.— J’en redescends à peine !— C’est un autre ! Je donnai à Sylvain le tube de lubrifiant, puis, à quatre pattes à côté de lui, je redonnai vigueur à sa queue assoupie. J’eus même l’audace de la prendre quelques secondes entre mes lèvres. Mon jeune amant se plaça ensuite à genoux derrière moi. Indécente, impudique, obscène, je m’offrais à lui, les fesses en l’air, la tête posée sur l’oreiller. Je sentis quelque chose de froid – le lubrifiant – sur mon œillet. Puis un doigt, lubrifié lui aussi, apprivoisa mon petit trou vierge avant de le pénétrer d’une phalange, puis de deux, puis de trois. Je crus que l’instant fatidique était arrivé quand le doigt se retira, mais il revint aussitôt, accompagné d’un copain. Et le manège recommença. Et les doigts se retirèrent. Immédiatement, Sylvain présenta son pénis devant mon petit trou. Le gland était à la porte, cette fois ça y était… Lorsque le gland franchit la porte, j’ouvris la bouche, comme si ça ...
    ... allait faciliter quoi que ce soit. Je restais passive, j’essayais d’être décontractée, j’attendais la suite avec une certaine appréhension. Sylvain poussa doucement, et son sexe dur s’enfonça millimètre par millimètre, sans précipitation. Je ne ressentais aucune douleur, juste une gêne. Tout ça n’avait rien à voir avec ce que j’avais lu et entendu. Mon anus vierge avait rendu les armes, je me sentais littéralement envahie, j’étais heureuse, j’étais une enculée et fière de l’être ! Cramponné à mes hanches, Sylvain se mit à aller et venir dans mes entrailles. — Je ne vais plus tenir longtemps, me dit-il au bout de quelques minutes (ou un peu moins, je ne sais plus).— Vas-y, viens, jouis en moi ! Viens, viens ! Sylvain se raidit, s’enfonça profondément et arrêta d’aller et venir. Je sentis nettement les jets de sperme de son éjaculation. Instant magique ! — Et alors ? me demanda-t-il un peu plus tard.— C’était fabuleux. Un merveilleux dépucelage. À mon âge, tu te rends compte ? Après le brin de toilette qui s’imposait, nous nous couchâmes ensemble pour une nuit de sommeil réparatrice. Le lendemain matin, je fus d’abord surprise de trouver un homme, jeune de surcroît, endormi à côté de moi. Puis je me souvins de tout et des découvertes que j’avais faites avec Sylvain. Je me levai et quittai la chambre discrètement, préparai du café et du thé et mis la table pour le petit déjeuner. Je regagnai ensuite la chambre et constatai que mon amant dormait toujours. Je fis glisser tout ...