Coûte que coûte... - Histoires de Sexe

Coûte que coûte...

... ce lieu presque inapproprié. Je le regarde un instant et ôte mon pied de son pénis qui a durci à une vitesse grand « V ». Je soulève ma jupe, laissant entrevoir mon bas. Il me fixe et me dit qu’il y a des caméras et des gens qui nous regardent. Peu importe, cela m’est égal. Je le désire, je le veux et je mets tous mes charmes naturels pour obtenir ce que j’attends de lui. Son regard se porte maintenant sur ma cuisse. Il me regarde faire. Il sait que je suis totalement nue sous cette jupe. Je crois que l’idée de cette exhibition l’excite beaucoup. Je bois une gorgée de ma bière, lui montre ma main et n’hésite pas à la mettre sur ma chatte tout humide. J’introduis dans mon vagin un doigt, puis deux. Il n’en croit pas ses yeux. Pour le convaincre, je sors mes doigts que je lui tends afin qu’il savoure ce nectar. Il est totalement décontenancé et ne sait plus ce qu’il doit faire. Je décide de tout diriger, car je suis une dominatrice. La bête est en moi et plus rien ne pourra l’arrêter. Je mène le jeu… Après qu’il m’ait léché les doigts et embrassé la main, je la reprends et parcours son sexe sous son jean. Je veux sentir son pénis à travers mes doigts, je veux sentir cette chaleur et cette peau si douce au contact de mes mains. Je déboutonne (d’une main) son pantalon et dégage son string (j’aime aussi la lingerie masculine et je trouve qu’un string est très sexy pour un homme). J’ai maintenant toute la liberté de libérer son pénis… Son gland est doux. En y passant mon index, je ...

... découvre ses quelques gouttes de liquide préséminal dont je badigeonne tout son gland. Il se pince la lèvre. Il est pris entre la peur d’être vu et l’excitation qui l’inonde tout d’un coup. Je le masturbe et je dois avouer qu’il a bien du mal à se contenir. De mon côté, je mouille comme une folle et aimerais pouvoir me jeter sur lui pour être prise sauvagement devant tout le monde. Bizarrement, la seule chose qui me traverse l’esprit est de ne pas tacher ma jupe. Je m’arrête un instant et je saisis sa main pour la mettre sur ma chatte. Je suis à moitié dévêtue et les regards commencent à se porter sur notre table. Cela me fait peur mais m’excite littéralement. Je n’ai pas encore réalisé que des hommes seuls, accoudés au bar en buvant leur alcool, se sont attardés à nous regarder, à observer notre petit jeu. Je ne peux qu’imaginer qu’ils doivent être bien excités à leur tour et doivent se poser un million de questions comme, par exemple, est-ce que je le suce sous la table ? Cette idée me plaît ; l’idée d’être vue et désirée à la fois suscite une plus grande excitation. Le désir me fait transpirer ; je me consume de l’intérieur… mais le lieu est inapproprié… Je vis une nouvelle fois une immense frustration mais, bien décidée à aboutir à une pénétration pour libérer cette surchauffe, je demande à mon compagnon de quitter ce bar. Il acquiesce et se rhabille discrètement. Je l’embrasse tendrement, enfile ma botte et baisse ma jupe. Nous nous levons pour repartir en direction de ...