Coûte que coûte... - Histoires de Sexe

Coûte que coûte...

... la voiture. Certains regards nous suivent… Sur le chemin, je le couvre de baisers et n’hésite pas à le toucher. Ce petit parcours me semble interminable. À l’horizon, une multitude de personnes se promènent, et pas une ruelle vide n’est libre. Quel dommage ! Je me serais bien fait prendre dans la pénombre d’une allée. Tant pis, je n’ai pas le choix, je poursuis ma route… Lorsque nous arrivons à la voiture, je retourne mon compagnon en le bousculant légèrement, dos à sa portière, je me frotte contre lui et soulève ma jupe pour y déposer une de mes jambes qu’il saisit dans sa main, afin que l’angle soit suffisamment grand pour que nous sentions la chaleur de nos désirs. Je l’embrasse. Il bande comme un fou. Son érection devient douloureuse, mais il ne dit mot. Nous montons dans la voiture. Nous nous regardons et comprenons qu’il faut vite que nous trouvions un endroit discret pour assouvir nos envies. Nous reprenons la route. Je ne peux m’empêcher de soulever ma jupe pour la remonter jusqu’à ma taille. J’écarte mes cuisses et pose les pieds sur le tableau de bord. Je ne parviens plus à me contrôler, et d’un geste intuitif ma main parcourt mes seins puis mon clitoris et enfin mon vagin. Mes doigts sont trempés et je n’hésite pas à les faire glisser sur mon anus. Cela me rend folle. Je n’en peux plus ; il faut vraiment faire quelque chose maintenant… Mon compagnon me regarde et meurt d’envie de me posséder. La première sortie qu’il trouve, il la prend. Il cherche ensuite un ...

... endroit discret. Bien qu’il y ait des lampadaires et des habitations, l’endroit semble calme. Nous nous arrêtons et coupons le moteur. Mon compagnon recule son siège. Il déboutonne son pantalon et l’enlève ainsi que son string. Il a à peine terminé que je l’enfourche. Je passe une jambe par-dessus les siennes, case mes genoux dans cet habitacle restreint et lui saisis la queue pour la placer directement dans mon vagin. Je m’assois avec force pour la ressentir dans la profondeur de mes entrailles. De son côté, il fait glisser mon pull le long de mes épaules. Il soulève mon soutien-gorge pour mettre ma poitrine à nu. Mes tétons sont raides et ressemblent à des tétines. Il s’empresse de les embrasser, de les sucer et de les mordre. Je suis folle de désir. Je bouge avec rage. Je respire très fort. Je lui demande de mordre plus fort. Il passe ensuite ses mains sur mes fesses et, là encore, je lui demande de me mettre un doigt dans le cul. Je suis au bord de la jouissance. Mes cris deviennent de plus en plus forts. Notre chaleur humaine dépose une énorme buée sur les vitres de la voiture. Nous nous embrassons. Féline que je suis, je le mords dans le cou et cela lui procure des spasmes qu’il apprécie. Je ne veux pas qu’il jouisse tout de suite. Je lui demande de passer à l’arrière de la voiture, car le frottement sur mes genoux me brûle. Nous passons à l’arrière sans même nous revêtir. Je l’enfourche à nouveau, mais cette fois je lui demande de me sodomiser. J’ai envie de jouir ainsi. ...