1. Mlle Adeline et M. Martin (2)


    Datte: 16/04/2021, Catégories: Hétéro

    ... Mais nous nous en fichions. M. Martin...Non, Claude, mon mari, avait tout de même pu conserver son job. Certains de ses collègues qui étaient aussi mes anciens profs, étaient également présents. Pour notre lune de miel, je m’étais offerte totalement à lui, en lui disant qu’il pouvait faire ce qu’il voulait de moi. Mais il n’en fit rien. — Mon plaisir c’est d’être à vos côtés, Madame Martin. — Vous lisez dans mes pensées, M. Martin. Il prit tout son temps pour me faire jouir, comme d’habitude. J’avais arrêtée de prendre la pilule, après en avoir longuement discuté avec lui. Il désirait avoir un enfant, qu’il pourrait aimer et chérir et ce, avec moi à ses côtés. Il semblait vouloir rattraper le temps qu’il avait perdu avec son ex-femme et je comprenais que, du haut de ses 45 ans, il souhaitait fonder une famille. Je le laissai donc me féconder, sentant les va et vient de son sexe à l’intérieur du mien. Il me caressait les seins et moi, je caressais sa poitrine. Très vite, il éjacula en poussant ses râles virils qui m’avaient déjà fait chavirer plusieurs fois. Il avait beau être très doux, j’adorais ce petit côté bestial en lui. ...
    ... Il s’allongea ensuite à côté de moi et me serra contre lui. Nous discutions toujours après nos rapports. Non pas sur nos performances, ni sur la qualité de ceux-ci, mais plutôt de nos humeurs du moments, de nos rêves, parfois de nos fantasmes. Ce soir là, Claude me partageait ses craintes à l’idée de devenir père. Il avait un peu peur de ne pas savoir comment si prendre. Mais je le rassurais et lui disais qu’il n’avait pas à s’inquiéter. Quelques semaines passèrent. J’avais attendu qu’il soit avec moi pour faire le test. Nous attentions pendant quelques minutes qui paraissaient une éternité. Nous étions collés l’un à l’autre, attendant. Le résultat était positif. J’étais enceinte. J’allais avoir un enfant ! Claude me prit dans ses bras et m’embrassa. Il pleurait de joie. Je n’arrivais pas à contenir mes larmes non plus. Une année avait passée depuis ce jour. J’avais accouché de deux beaux jumeaux, Thomas et Sam, fruits d’un amour passionné. Leur père se débrouillait comme il fallait et s’occupait d’eux comme jamais. Bien sûr, il s’occupait également de moi chaque soir, tout en continuant nos petites discussions après nos ébats. 
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