1. Autoroute aventureuse


    Datte: 16/04/2021, Catégories: hh, toilettes, hdanus, init, Gay

    ... au contact de sa peau pour se poser sur sa tige. Surprise ! C’est doux, c’est chaud, c’est vivant. Pour une première fois, je suis gâté avec cet énorme engin posé dans le creux de ma main. Maladroit et un peu brutal, il s’avance lui aussi et me prend par les couilles à pleine main à travers mon jean. Je m’apprête à vivre du sexe brut, sans mots, sans fioritures. Nous sommes dans un état second où ne compte que l’envie de toucher, de gicler. Sans être détraqué, je reste toujours surpris par ma capacité à zapper toutes les conventions quand il s’agit de sexe. Une fois la machine lancée, peu de choses me dérangent. Les odeurs, la chaleur d’une peau sur la mienne provoquent toujours les mêmes effets dévastateurs. Ma bite prend le pouvoir. Que ce soit un corps d’homme ou de femme, je ressens au final la même excitation. Le chemin qui mène à l’orgasme est différent. C’est tout. Je goûte avec délectation le corps souple et doux d’une femme, ses rires, ses intonations de voix, ses fesses, son sexe. Chez un homme, c’est plus l’attrait de l’inconnu, de la transgression. C’est le sexe pour le sexe. Exactement ce que je vis dans les minutes présentes. Quatre à cinq ans auparavant, cela me mettait mal à l’aise, mais j’ai appris à ne plus m’en faire et au contraire à l’apprécier. Cette récente passion pour la bite complète à merveille la palette d’émotions que je pourrais éprouver en baisant. Je découvre donc tout ça en défaisant la ceinture de cet inconnu, puis ces boutons de chemise et ...
    ... enfin sa braguette. Plus à l’aise, mon commercial se livre sans retenue. Son pantalon glisse légèrement vers le bas et découvre un peu plus l’objet de mon désir. Sa queue ne cesse de tressaillir, de se tendre vers le haut. S’il continue comme ça, à un tel degré d’excitation, il va finir par gicler tout seul. Le voir dans cet état me rend plutôt fier. Ma petite personne provoque un tsunami, un feu d’artifice. Pourtant j’ai du mal à le regarder directement en face et me concentre sur le bas de sa personne. Surtout ne pas aller trop vite, il faut d’abord laisser monter la tension. Ma main se pose sur son ventre et s’immobilise à deux centimètres à peine de sa verge. Le temps de goûter à l’épaisse toison brune qui remonte vers son nombril, je pars à la découverte de nouveaux territoires. Mes doigts virevoltent et viennent frôler l’intérieur de ses cuisses comme les ailes d’un papillon. Juste un effleurement, mais ressenti comme une tornade, une promesse de divine jouissance par mon acolyte qui écarte encore un peu plus ses jambes pour me laisser la voie libre. Je vois bien qu’il est en train de fondre sous mes assauts. Je reviens donc à son entrejambe et passe lentement ma main sous ses fesses. Une onde de chaleur accompagne le déplacement de mon bras. Ma peau brûle d’envie de toucher le sillon de son derrière. Seuls mes ongles viennent griffer légèrement la peau tendre. Je repars devant et prends dans ma pogne ses bourses bien pleines. Ma respiration s’accélère, je suis au bord ...