1. Mes secrets de famille (1)


    Datte: 17/04/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    L’été dernier, nous étions tous invités chez tata Dominique et tonton Jacques, dans leur maison perdue dans la campagne. Nous ne nous sommes pas vus depuis pas mal d’années, séparés par la distance. Je venais d’apprendre dernièrement à ma famille que j’étais enceinte depuis plusieurs mois. C’était donc l’occasion de tous se revoir en week-end entier. A cette époque, mon compagnon se montrait plutôt abstinent. Il avait un peu peur de me faire du mal pendant l’amour et de perdre le bébé. Dans sa tête, il était déjà devenu un papa sage et bien rangé. Quant à moi, au contraire, mes hormones étaient en feu et j’avais envie tout le temps de sexe. A l’approche de la trentaine, je redécouvrais les désirs de mon adolescence. J’avais envie que l’on malaxe mes seins devenus énormes avec des tétons bien noirs et que l’on me saillisse comme une petite chienne. Il faisait ce jour-là très chaud, ce qui n’arrangeait pas mon envie de me faire prendre. Je portais une courte robe d’été bien décolletée et un string discret qui pouvait laisser penser que je n’avais pas de culotte. Avant le repas, j’avais tenté de chauffer un peu mon mec, pour qu’il me prenne dans un recoin de l’immense jardin de mon tonton. Mais rien n’y faisait : il était concentré sur son barbeuk, voulant absolument bien se faire voir de ma famille. Tonton Jacques se tenait étrangement à l’écart, lui qui avait l’habitude de s’occuper de tout. Il avait l’air un peu bougon. — Qu’est-ce qu’il y a tonton ? Tu n’as pas l’air très ...
    ... en forme... demandais-je. — Non, c’est rien... dit-il en lançant un regard noir sur le père de mon futur enfant. Tu peux m’apporter une bière ma belle ? — Eh ! Même si tu as un bidon aussi gros que le mien, c’est bien moi qui suis enceinte ! le taquinais-je. — Ah oui, pardon Olivia, dit-il en se levant et m’embrassant sur la joue. Tu veux quelque chose ? Tonton Jacques m’avait toujours beaucoup appréciée. J’étais sans aucun doute la préférée de ses nièces. Le quinquagénaire n’avait eu que tardivement des enfants et de surcroît que des garçons. Il s’était beaucoup occupé de moi avant mon adolescence. Le repas se déroula normalement, mais je remarquai que tonton Jacques, comme à son habitude faisait que de me reluquer les seins et plaisantait avec moi avec plein d’allusions sexuelles. Il lançait également énormément de piques à mon conjoint. Il ne manquait pas une occasion pour le rabaisser et l’alcool ne faisait qu’empirer les choses. Si mon mec ne prêtait pas attention à ces remarques, cela commençait à beaucoup m’irriter. Après le repas, pendant que tout le monde était occupé à débarrasser, s’occuper des plus petits ou discuter. J’en profitais pour discuter avec tonton Jacques. — J’ai l’impression que tu n’aimes pas trop mon compagnon. Qu’est-ce qui ne va pas avec lui ? — Ce n’est pas lui en particulier... je n’ai jamais aimé tes copains. Tu me connais, j’ai toujours été trop protecteur avec toi. Je ne veux pas qu’il te fasse du mal. — Oui, et bien, ce n’est plus la peine. Je ...
«123»