Mes secrets de famille (1)
Datte: 17/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... penchai alors pour le ramasser, dos tourné à mon oncle, afin qu’il puisse entrevoir mon string. Je fis semblant d’avoir du mal à réaliser cette tâche à cause de mon ventre rebondi, afin qu’il puisse bien profiter du spectacle. — Laisse, je vais le ramasser, dit-il en s’approchant. J’en profitai pour me coller dos contre lui, en faisant mine de trébucher. Mes fesses se retrouvèrent au niveau de son entrejambe. Je commençai à me tortiller. Son sexe déjà mi-dur commença à bien se dresser. — Pa... Pardon, dit-il en voulant s’écarter. Je lui pris ses mains et les posai sur mon ventre, afin qu’il reste contre moi : Tu ne veux pas toucher mon petit bidon pour sentir le bébé ? Il commença à caresser mon ventre. Toujours dos à lui, je profitai de ce câlin affectueux pendant quelques instants. Je sentis en moi l’excitation monter tout autant que ce sexe au garde à vous entre mes fesses. Je pris ses mains pour les remonter vers mes belles pommes. — Non, ça va trop loin Olivia... tu vas être maman et tu te comportes comme une petite allumeuse, alors que tu as déjà un homme. Je me contentai de lancer un regard coquin par-dessus mon épaule, laissant échapper un soupir sensuel. — Mon mec me délaisse depuis ma grossesse, alors j’ai besoin d’un peu ...
... d’affection tonton, murmurai-je en tournant ma tête vers lui. De ma main droite, je caressai sa queue à travers son pantalon. Elle n’était pas spécialement grosse, mais elle l’était suffisamment pour me satisfaire. Il ferma les yeux et se remit à malaxer mes obus, en profitant de mon massage. Il me saisit ensuite la gorge pour m’embrasser à pleine bouche, fourrant sa langue dans la mienne. Il me mit son autre main dans mon string, pour caresser mon abricot déjà bien mouillé. Il essaya d’y mettre un doigt, puis un deuxième. Nous nous câlinâmes pendant quelques minutes, mais un invité s’approcha de la remise. Jacques se dégagea rapidement, alors que j’étais sur le point de jouir. La personne essaya d’ouvrir la porte, mais je l’avais bloquée. L’invité retenta sa chance, puis abandonna après quelques essais infructueux. Au même moment, Tonton débanda complètement et s’écarta de moi. Il voulut partir par peur d’être découvert, par peur de montrer qu’il m’avait toujours désirée. Pris de panique, il confessa qu’il avait honte de ce qui venait d’arriver et qu’il regrettait son geste. Il souhaita sortir de la remise en vitesse. Au même moment, je le retins assez longtemps pour lui glisser : — Je serai seule ce soir, rejoins-moi dans ma chambre dès que tu peux...