Mon épouse, Emmanuel et Jennifer
Datte: 17/04/2021,
Catégories:
ffh,
frousses,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
jouet,
hff,
... depuis mon arrivée au centre. Je rajoutai qu’avec le recul je regrettais les circonstances particulières qui m’avaient permis de m’inviter dans leurs ébats mais que si elle était honnête elle devait reconnaître qu’elle aussi avait pris un pied d’enfer pendant notre petite séance. Je dis aussi que quoi qu’il arrive, je n’oublierais jamais cette intimité qui nous avait réunis. Allison, d’abord sur la défensive, se détendit petit à petit, peut-être flattée des compliments et un peu amusée de la tournure des évènements. C’est ensuite Jennifer qui prit la parole. Elle ne s’est pas trouvé d’excuses, disant simplement à Allison qu’elle était désolée d’avoir profité de son état ce soir-là (ma femme était complètement pompette) mais qu’elle aussi avait envie d’elle. Elle rajouta qu’elle avait senti, à ses regards volés vers son entrejambe, qu’elle n’était pas insensible au charme féminin et que cette soirée un peu trop arrosée avait peut-être permis de lever quelques tabous et de donner libre cours à leur libido. Elle demanda à Allison de se souvenir comme elles avaient bien rigolé et comme elles s’étaient bien entendues tout de suite. Bien sûr, il y a eu l’arrivée d’Emmanuel mais il est intervenu bien après le début de leurs caresses. S’il n’était jamais venu, elles auraient de toute manière fait l’amour et ça n’aurait pas été si grave. Elle demanda à Allison de lui pardonner d’avoir fait participer Emmanuel à leurs ébats et lui tendit les bras. Allison n’hésita pas longtemps ...
... avant de s’y loger et de reconnaître qu’elle en avait eu envie elle aussi mais que ce qui l’avait contrariée c’est de m’avoir sucé, dans un intense moment d’excitation, comme dans un état second. Pour elle, on lui avait forcé la main - enfin, la bouche. Elle était pratiquement en train de jouir lorsque ça s’était fait. À un autre moment, ça ne serait peut-être pas passé. Jennifer releva le « peut-être » en disant qu’elle savait qu’Emmanuel lui plaisait. S’ensuivit un dialogue me concernant, qui donna à peu près ça : — Regarde-le. Tu as le souvenir de sa queue dans ta bouche, franchement, ça t’a déplu ?— Non, ça ne m’a pas déplu. J’ai aimé ça, mais…— Mais quoi ? Moi j’ai envie de toi, j’ai envie de sa queue aussi, je le sais, tu le sais, et alors ? On pourrait se lâcher un peu, non ?— Oui, c’est vrai, on pourrait, mais…— Arrête avec tes mais. Lâche-toi. Là, je te parle de sexe, pas de sentiments. Tu étais d’accord pour qu’on fasse l’amour et pourtant on n’est pas des lesbiennes. Il n’était pas question d’amour, de vivre ensemble et tout et tout. Regarde sa queue, dit-elle en ouvrant ma blouse. Bon, elle n’est pas à son avantage car ce qui nous excite, c’est une bonne queue bien dure, agressive avec les veines apparentes, le gland gonflé, mais il suffit de peu de choses pour qu’elle redevienne intéressante. Joignant le geste à la parole, elle se pencha pour m’emboucher en commençant quelques va-et-vient sur ma hampe. Rapidement, mon chibre se redressa, presque dans l’état où je ...