La rentrée - Histoires de Sexe

La rentrée

... la défoncent de plus en plus vite. Elle lâche en un gémissement : — Un simulateur, un autre… Je l’embrasse, ma langue lui baise la bouche. Mes mains achèvent leur travail ; elle laisse échapper un cri de jouissance, tombe dans mes bras. Elle gémit encore à chaque spasme de son sexe, de moins en moins fort. Je continue à la caresser lentement, tout en douceur. — Merci. Tu vois ? Quand tu veux, tu n’es pas si cachottière. Je dépose un baiser sur ses lèvres. Elle donne un petit coup de langue remontant sur les miennes. Elle susurre, coquine : — Je crains de ne pas avoir été parfaitement honnête dans mes réponses. Je ne serais pas en deuxième année si je ne savais dire ce qu’il faut pour obtenir ce que je veux, quand je le veux. Tu ne m’en tiendras pas rigueur j’espère ? Elle est plus amusée et moqueuse que prise de remords. — Bonne nuit, mon gentil petit minou. « La prochaine qui me prend pour un félin je lui fais bouffer une boîte deWhiskas ! » Je rumine. Ne se sent-elle pas tout simplement coupable d’avoir succombé si facilement à une première année ? Qui pourrait m’aider à y voir plus clair ? Pas d’hommes ? Jamais ? Un petit cul bien musclé, des pecs d’acier, des cuisses et des mollets bien fermes, des tablettes à croquer, une belle queue bien douce et une paire de couilles énormes…« Arrête, c’est pas le moment de mouiller ; endors-toi. » Sont bons, leurs petits déjeuners. J’aime avoir une tonne de choix. Sophie me rejoint. Faut qu’on cause. — Tu as eu droit à un truc ...

... particulier pour ta première nuit ici, toi ?— Ouais. Steph m’a sauté dessus pour me faire un cunni. Elle avait planqué une caméra sur l’armoire, je l’ai captée direct.— Elles avaient une sextape à faire pour un cours ?— Elle a pas dû être déçue… Je lui ai rien dit, j’ai profité de ses léchouilles ; elle a une putain de langue super agile, j’allais pas rater ça ! Mais j’ai fait des grimaces dans tous les sens, les plus moches possibles. Quand elle relevait la tête, je lui faisais des grands sourires genre « Ah, j’tiens plus, t’es trop bonne ; ah, oh… oui ! ». Elle pouffe. — Et toi, t’as eu droit à quoi ? Paraîtrait que la Estelle, là, ce serait pas la dernière des vicieuses.— On t’a dit ça ?— Des filles de la classe hier, après ta pipe formule 1. « Elle a été plus fine pour la vidéo. Je me suis douté de rien. Pourtant, il y en avait trois, des caméras. » — Waouh, superproduction et tout.— J’étais face au mur, yeux bandés. J’ai entendu quelqu’un ouvrir la porte, et un énorme sexe m’a pénétrée direct.— C’était qui ?— J’en sais rien. Estelle m’a montré la vidéo mais les plans sont bien montés : impossible de voir plus que cette queue. J’ai tenté d’interroger Estelle ; elle a évoqué un autre simulateur que celui du cours de fellation. Je sais plus, maintenant… Elle me mène en bateau. J’aurais juré que c’était une vraie, mais il y avait cette odeur d’anis sur les lèvres d’Estelle…— Elle s’est fait un petit entraînement avant ?— Non ; enfin, j’en sais rien. Elle m’a nettoyé la poitrine… ...