Une partie de belote... sans cartes
Datte: 18/04/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... toujours en érection. Roger baissa son pantalon et aida Martine à se dévêtir. Le couple Néral rejoignit le lit, un peu emprunté. - Allez, on commence tous par un 69, ça nous mettra en appétit, gloussa Françoise, de plus en plus enjouée. Et les deux femmes s'allongèrent sur leurs hommes en position inversée. Fan de 69, Martine se mit aussitôt dans l'ambiance et s'observa dans le miroir en train de sucer Roger tout en attrapant le regard de Françoise, dans la même position, qui lui jeta un clin d'oeil complice. Puis Françoise déclara : - Allez, on change ! Martine n'eut pas trop le temps de réfléchir : Françoise l'avait tirée pour qu'elle s'occupe de Bernard et prit sa place illico. Roger se retrouva le nez dans sa chatte poilue de rousse tandis qu'elle prenait possession de son dard. Ainsi cerné par les cuisses dodues et laiteuses de Françoise (ce dont il ne se plaignait pas, il avait toujours considéré le 69 comme la meilleure des entrées en matière), il pouvait percevoir par l'oreille les ébats voisins de son épouse et de Bernard tout en les regardant évoluer de bas en haut sur le miroir du plafond. Vision étonnante que celle de ces quatre corps en surplomb dans la frénésie de l'amour, de ces fesses et de ces jambes en mouvement. Mais Roger ne pouvait pas être au four de la vulve de Françoise et au moulin du voyeurisme. Il retourna à son sujet principal. Après les bruits de succion caractéristiques d'une pipe made in Martine, Roger perçut un remue ménage témoignant d'une ...
... situation en évolution, suivi d'un râle non moins caractéristique : Martine venait d'être pénétrée. "Il est vraiment pressé", se dit Roger, pas vraiment surpris par l'impatience de Bernard d'honorer les somptueuses rondeurs de la brune et capiteuse Martine. Françoise avait interrompu sa succion pour observer les ébats du couple voisin tout en maintenant une forte pression de son bassin sur la face de Roger afin qu'il ne se dérobât point. Le lit se mit alors à vibrer sous l'effet des coups de boutoir de Bernard et Martine se mit à manifester son plaisir sans la moindre retenue ni le moindre souci de préserver les oreilles de son mari. Celui-ci reconnut le verbe caractéristique de son épouse lorsqu'elle baisait, mêlant l'étrange au classique : - Insiste ! Oui, c'est bon ! Ne lâche rien ! Vas-y ! Plus ! Plus ! Encore ! Ah ! Mmmh ! Bite moi ! Subjugué par tant d'enthousiasme, Bernard se déchainait. Roger se décala légèrement du giron de Françoise pour observer les ébats voisins en regardant le plafond. Martine avait croisé les chevilles sur les reins de Bernard et pressait en cadence à chaque pénétration de son baiseur. Celui-ci, dynamisé par une telle ardeur, la mitraillait de coups de bite. Françoise se crut obligée d'intervenir : - Ho Bernard, calme-toi un peu, tu vas tout lâcher trop vite comme un gamin, fait durer... Et elle reprit sa succion sur la queue de Roger. Effectivement, à côté, il sentit que les choses s'étaient quelque peu atténuées, à entendre les profonds soupirs ...