1. Une partie de belote... sans cartes


    Datte: 18/04/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... de Martine et Roger constata au plafond que Bernard était passé au cunnilingus pour ménager l'avenir. Quant à lui, il continuait d'explorer la vulve de Françoise qui dégoulinait sur son museau. Sa langue agile la fouillait comme un pénis. Il dut toucher un point sensible car il sentit qu'elle se raidissait, que ses fesses étaient envahies de chair de poule et elle lâcha un "Ha !" en se cambrant. Puis elle le libéra après l'avoir félicité : - Tu m'as déjà fait jouir, cochon que tu es ! Les deux couples, absolument nus, se retrouvèrent assis sur le grand lit, les deux mâles en érection, les deux femelles pantelantes. Un intense désir de copulation les animait toujours et Martine ne pensait plus guère à la transgression représentée par cet accouplement à quatre. Elle taquinait du pied le pénis de Bernard, lequel s'en était saisi pour se masturber. Françoise plongeait ses yeux émeraude luisants de désir dans ceux de Roger qui la caressait légèrement à l'intérieur de la cuisse en frôlant sa vulve trempée, ce qui l'excitait considérablement. D'une voix rauque, elle suggérera de "jouer". - Qu'entends-tu par là ? Tu veux qu'on se fasse une belote ? On est juste le nombre qu'il faut, plaisanta Roger. - Si tu veux, mais les cartes, ce sera nos corps, répliqua Françoise du tac au tac. ******** Il fut ainsi décidé que les deux femmes suceraient les deux bites en même temps, à tour de rôle, mais Françoise ajouta : - Vous les mecs, interdits d'éjaculer pendant une heure. Si ça vous ...
    ... prend, allez à la douche sous l'eau froide ! On en resta donc pendant quelque temps aux jeux sexuels, essentiellement buccaux et manuels. Les deux femmes se tordirent sous les doigts experts des deux hommes. Roger, subjugué par le cul de Françoise, promena sa langue sur sa raie et s'attarda sur son anus, la faisant roucouler. Bernard, fasciné par les deux nichons plantureux de Martine, n'en finissait plus d'y fourrer son groin et sa queue que la brune pressait entre ses deux mamelles. Ces petits jeux avaient toutefois leurs limites et les deux femmes, allongées côte à côte au bord du lit, exigèrent d'être baisées simultanément. La chambre s'emplit des bruits mouillés des quatre sexes joints. Cette fois, c'était au tour des deux femmes d'observer au plafond les fesses en mouvement de leur partenaire, ce qui ne contribuait pas peu à leur extase. Bernard se régalait de la houle des seins de Martine sous l'effet de ses coups de boutoir cependant que Roger, saisissant les pieds de Françoise pour lui écarter les jambes, lui assénait de virulents coups de bite qui la faisait se pâmer de manière indécente : - Jusqu'aux couilles ! Jusqu'aux couilles ! répétait-elle, en jetant un regard en coin sur le miroir mural qui lui renvoyait l'intense travail de la bite. Les deux hommes comprirent que s'ils voulaient respecter le contrat de l'heure, ils devaient modérer leur enthousiasme, voire courir à la douche. Et ils se retirèrent, toujours gaillards, au grand soulagement des deux femelles, loin ...
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