1. Une généreuse maman (8)


    Datte: 03/11/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    Rien n’avait fondamentalement changé dans nos rapports : j’étais toujours attiré par maman, mais plus seulement sexuellement ; j’étais amoureux de ma mère à mon corps défendant. Mes attentes avaient évolué, et je craignais qu’elle refuse de répondre positivement aux élans qu’elle m’inspirait. Je n’étais pas un simple adolescent impliqué dans une relation avec une femme de vingt ans son ainée, c’était plus compliqué ; c’est ma mère que je baisais ! Elle n’était pas ma maitresse à proprement parler, et je ne pouvais me prévaloir d’être son amant ; nous n’étions pas un couple adultère comme les autres, nous étions parents. Tout se bousculait dans ma tête, j’avais perdu mes repères ; j’avais peur de me trahir en lui révélant par mégarde la nature de mes sentiments… Il y a toujours une période un peu floue, entre la fin des examens et l’annonce des résultats, où il n’y a rien d’autre à faire qu’attendre, juste patienter. Mais avec maman nous trouvions toujours le moyen de passer le temps : nous faisions l’amour à longueur de journée. Je la prenais souvent dans la position du missionnaire, afin de pouvoir étudier les variations de son visage quand je la pénétrais. Je m’allongeais sur elle de tout mon long, et elle éprouvait un plaisir si intense quand ma queue la remplissait, sa joie paraissait si sincère qu’elle suffisait à mon bonheur. Je ne la quittais pas des yeux jusqu’à ce qu’elle jouisse, et puis je me blottissais dans ses bras, la serrais sur mon corps – en évitant de ...
    ... laisser paraître mon émoi - pour lui voler un peu de la tendresse que je n’osais pas lui réclamer… Un jour - nous étions dans son lit, nus tous les deux - j’ai remarqué que maman affectait un petit air contrit. Elle était d’humeur maussade. Je ne m’en suis pas formalisé plus que ça, mais j’ai tout de suite compris que ses scrupules faisaient leur retour. Nous avions baisé toute la matinée. Je démêlais nonchalamment du bout des doigts ses poils couverts de mon sperme, quand elle s’est redressée d’un bond. Elle s’est ébrouée, m’a défié du regard. — Victor, mon chéri, dis-moi franchement… Est-ce qu’il t’arrive encore de me considérer comme ta gentille maman, ou ne suis-je plus pour toi qu’une femme vicieuse avec laquelle tu fais des « cochonneries » ? Sa question m’a surpris, alors j’ai suspendu mon geste ; j’ai arrêté de lui tripoter la chatte. Je ne savais que trop où elle voulait en venir. Il y avait longtemps qu’elle ne m’avait pas fait une crise de conscience, et voilà qu’elle recommençait. Je pensais que la question était enfin réglée pour elle, mais d’un autre côté, elle m’offrait une occasion inespérée de me justifier. — Mais qu’est-ce qui t’arrive encore ? Nous en avons déjà parlé, tu ne t’en souviens pas ? Tu es ma maman… mais tu es aussi une femme… et moi je t’aime tout entière… la femme comme la mère ! J’avais plongé dans le vide sans filet, et elle n’avait même pas tressailli face à l’énoncé ; je me demandais si elle m’avait seulement écouté. — Mais enfin Victor, tu ne ...
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