1. Une généreuse maman (8)


    Datte: 03/11/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... maman, mais tu es une femme qui me fait bander, une femme que j’ai aussi envie de baiser ! TU ES les deux en même temps… parfaite… Tu es la femme idéale ! Elle m’a regardé avec des yeux gros comme des soucoupes, la bouche ouverte comme si elle n’arrivait plus à reprendre sa respiration. ufkunndt Elle était sous le choc. Elle avait l’air si déstabilisée par mes propos que j’ai craint un instant d’avoir pousser le bouchon un peu loin. — Seigneur, Victor ! Tu te rends compte de ce que tu me dis ? C’est la chose la plus tordue, mais c’est aussi la déclaration la plus sincère qu’on ne m’ait jamais faite de toute mon existence ! — C’est la vérité maman… Je t’aime d’amour ! — Dis-moi si je me trompe, mais c’est une demande en mariage, n’est-ce pas ? Parce que je vais sans doute te décevoir, mon chéri, mais je ne peux pas t’épouser ! Je suis déjà mariée avec ton père, tu te souviens ? Alors, devant mon air consterné, elle à pouffé et m’a lancé un sourire désarmant dont elle avait le secret. Voilà ! C’était ça ma mère : un pur concentré de réactions imprévisibles. Capable de plaisanter, de ...
    ... se moquer de moi, alors qu’elle traversait une crise existentielle deux minutes avant. Sensible et charmeuse, toujours dans la démesure, passant d’un extrême à l’autre sans transition. Sérieuse à faire peur, et puis plus insouciante, plus espiègle qu’une ado l’instant suivant. Elle s’est laissée glisser sur le lit, a ouvert les cuisses, alors que je n’avais jamais cessé de jouer avec ses poils soyeux pendant notre conversation. J’ai promené mes doigts sur sa fente, écarté les lèvres proéminentes pour les ouvrir, afin de découvrir l’intérieur de sa vulve. J’aimais tellement regarder de près son sexe qui dégoulinait, qui s’épanouissait sous mes doigts comme un petit animal blessé qui renaissait. J’ai léché, tété sa chatte comme l’obsédé que j’étais, et je sentais qu’elle adorait ce que je lui faisais. Elle hurlait, remuait sous moi les cuisses écartelées pendant que je la dévorais. Elle était capable de mettre sa culpabilité en veilleuse au bon moment, et j’en remerciais Dieu, le Ciel, et tous les saints qu’elle devait prier pour la pardonner de ce qu’elle me permettait de lui faire… 
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