Abstinence : démon chéri...
Datte: 20/04/2021,
Catégories:
fh,
couple,
fépilée,
amour,
chantage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Masturbation
humour,
... plaquer mon corps sur le sol, ainsi mes fesses sont mises on ne peut plus en avant. Bon, le spectacle est fini - enfin, je veux dire : l’entraînement est fini. La soirée de samedi est identique aux autres, tout comme le coucher, dans un petit shorty rouge et un t-shirt que je retire une fois installée dans le lit. Je feins de m’endormir et, comme depuis quelques jours, au bout d’un moment, mon amour se lève discrètement pour faire ses désormais rituelles escapades aux toilettes. Il est mûr. Passons à la dernière phase. Je suis contente quand même de sentir qu’il craque car, outre le fait de percevoir un malaise et de la tristesse dans le regard de mon mari, je dois dire que tous ces jours d’abstinences commencent à me titiller moi aussi. Le dimanche, je reprends mes habitudes de lectures informatives sur le bonheur sexuel. Au repas : huîtres, viande sauce gingembre et chocolat en dessert. Tout pour rassasier un appétit. En plus, le dimanche c’est le jour de "30 millions d’amis" ! Je regarde l’émission, le son de la télé plus fort qu’habituellement - enfin, d’après lui… Le soir, mon mari est au lit, prêt à se coucher, il se couche plus tôt ces temps-ci, bizarre, je ne vois pas pourquoi. Alors que je suis enfermée dans la salle de bain depuis une petite demi-heure, j’entends mon amour me crier à travers la porte de venir me coucher une énième fois. — Bon, tu viens oui ! Je veux me coucher, j’suis crevé ! Tu fais quoi dans cette salle de bain, hein ? Qu’est-ce que tu ...
... manigances encore…— Mais rien, mon chéri. Que crois-tu ? Je me pomponne, c’est tout. J’ai fini, je sors, tu vas pouvoir te coucher. Je sors avec une nuisette devenue habituelle à présent, je suis debout à côté du lit, prête à m’asseoir. — Ne t’inquiète pas, moi aussi je veux me coucher tout de suite. Je suis fatiguée, mais je voulais à tout prix faire ça ce week-end, car la semaine je n’aurais pas eu le courage— Faire quoi ? Il me regarde aussi curieux qu’inquiet. — Oh, je me suis occupée de mon petit chou. Au même moment, je soulève un peu ma lingerie et dévoile mon fruit défendu tout lisse et vierge de poil. Mon mari fixe mes lèvres, toutes timides, sans la moindre pilosité. Son regard paraît figé, presque mort, sa bouche s’entrouvre légèrement, il ne bouge plus. Je continue ma réplique, après un silence qui en dit long. — C’est comme au temps où nous étions étudiants, tu te rappelles ? Il te plaît ? En tout cas, c’est tout doux. Je passe un doigt sur mon pubis rasé pour confirmer mes dires et je frôle mes lèvres intimes et remonte une fraction de seconde sur mon clitoris. Puis je lâche ma pièce de tissu qui retombe comme un rideau sur la scène. Ensuite, je me couche et éteins la lumière de mon côté : — Bonne nuit, mon chéri. Pour unique réponse, je n’ai qu’un drap qui s’agite et qui le recouvre. Le lendemain matin, je fais la grâce mat’, vu que mon mari et moi avons pris notre lundi en RTT. Il est onze heures quand je me réveille, seule dans le lit. Mon homme est sans doute déjà ...